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us rappelle au sérieux. Et ce n’est pas ma faute,
ni
celle des protestants, si l’axe Berlin-Rome passe justement par Rome,
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es américaines ne sont pas une réclame politique,
ni
même un expédient pour lutter contre le chômage. Elles sont le produi
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ut acquitter Oltramare. Vous n’y comprenez rien ?
Ni
moi non plus. C’est que ce raisonnement n’en est pas un, mais combine
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ublie que notre économie n’est pas tombée du ciel
ni
sortie du sol, et qu’elle ne tire pas son origine et sa vitalité de n
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près de la frontière du Canada, sans électricité
ni
aucun confort. Pas une maison à 20 km à la ronde. La paix totale. Je
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se produire dans la théologie et la philosophie,
ni
dans les lettres. Mais cette disparité n’a rien de rassurant, tout au
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américaines, indonésiennes, etc. Il n’existe pas,
ni
hors de l’Europe ni en Europe, de chaires d’études européennes, ou pl
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iennes, etc. Il n’existe pas, ni hors de l’Europe
ni
en Europe, de chaires d’études européennes, ou plus précisément d’eur
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isse mais deux douzaines, point de grands centres
ni
de marché intellectuel, et surtout point de langue que ces patries ai
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rivain qui ne peut séparer la pensée de l’action,
ni
la passion de la lucidité. Son expérience des hommes et de l’irration
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res, sans les subordonner et sans les confondre ;
ni
séparation ni confusion. Dans cette perspective, j’envisage une théor
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subordonner et sans les confondre ; ni séparation
ni
confusion. Dans cette perspective, j’envisage une théorie générale du
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at. À part cela, elles n’ont plus rien à se dire,
ni
au fond rien à faire ensemble. 3. L’Université au vrai sens du terme
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e : « Désormais, disait saint Paul, il n’y a plus
ni
Juifs ni Grecs. » Cette responsabilité de l’Europe s’oppose aux racis
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ormais, disait saint Paul, il n’y a plus ni Juifs
ni
Grecs. » Cette responsabilité de l’Europe s’oppose aux racismes et au
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enir et à l’idée. Mais non pas perdu tout à fait
ni
pour toujours, puisque ce « je ne sais quoi de libre, de joyeux et pe
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vec l’armée française en 1940, ce n’est pas rien,
ni
commander ensuite l’état-major particulier d’un général en chef. Et,
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avenir. Jusqu’à nous, point de choix économiques
ni
même peut-être politiques longuement délibérés, concertés à long term
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l de cet afflux, qui n’est pas d’admirer nos lacs
ni
de fuir des dictatures, mais de faire du « fric ». Or ce motif est le
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à écrire vers 16 ou 17 ans, sans savoir pourquoi
ni
pour quoi. Et quand beaucoup plus tard, essayant de répondre à l’atte
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si l’on s’avise que le fédéralisme n’a jamais été
ni
pu être une « solution » aux problèmes de la Suisse, pour la simple r
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la Confédération helvétique, de quoi s’agit-il ?
Ni
de l’anniversaire d’une dynastie — les Zähringen et les Kibourg sont
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eints depuis des siècles, les Habsbourg émigrés —
ni
l’anniversaire de la fondation d’un État ou de la signature d’une Con
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pe. De cette façon, elle n’aura pas vécu en vain,
ni
sans gloire. S’évanouir dans le succès de notre idée et d’une formul
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our l’autre, sans qu’il y ait confusion des deux,
ni
subordination de l’un à l’autre. Ils sont à la fois semblables et dif
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Le temps, apparemment, n’a pas entamé la rancune
ni
la virulence de Denis de Rougemont contre l’école. Preuve en soit la
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noble de Lavaux, cette évidence ne saurait exiger
ni
d’ailleurs endurer la moindre preuve : vous la vivez « comme on respi
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ère neutre comme les dieux, qui ne sont de gauche
ni
de droite, mais toujours d’en haut, rayonnants. Il y a le paysage mai