1 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
1 çaise (15 mars 1941)e Périgny… C’était bien ce nom -là ? Un long village en bordure de la route. D’un côté, les maisons d
2 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
2 sive et politiquement « progressiste ». Ces trois noms dominent aujourd’hui l’intelligentsia religieuse du tiers le plus rel
3 rs le plus religieux de l’Occident. Ce sont trois noms européens. Les Européens goguenards pour qui l’Amérique signifie Coca
4 e écrit par l’une d’entre elles, dont il taira le nom . Il lit la pièce, puis la relit lentement. Une vingtaine de vers bref
5 r en lisant les panneaux d’annonces. Soudain, mon nom en très grosses lettres sur une affiche. « À 3 heures, dans la Salle
6 tant prêts à mourir, mais non pas à tuer, en leur nom  ? » « Nous devons incarner nos valeurs. Mais comment peut-on faire ce
3 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les mythes sommeillent… ils vont se réveiller [Entretien] (9-10 février 1963)
7 ature qui revendiquaient la légitime propriété du nom . Un œil clair, un menton lourd (les photographies connues soulignent
4 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
8 nger irrésistiblement à cette institution dont le nom même semble indiquer qu’elle devrait résumer le monde de l’esprit, l’
9 out l’effort de l’Université au plein sens de son nom (Univers, universitas, selon l’étymologie chère à Claudel, veut dire
10 eprise ? Elle pourrait se réclamer de beaucoup de noms illustres, d’hommes qui ont rêvé l’Académie européenne, comme Tommaso
5 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut réinventer l’Université (29 juin 1968)
11 n’existe plus. Ce qu’on persiste à décorer de ce nom n’est que la juxtaposition d’une quantité variable d’écoles professio
12 bouchés ». Mais le rôle d’une Université digne du nom serait plutôt de favoriser de meilleurs débouchés sur la connaissance
13 indispensable à la vie d’une Université digne du nom . 16. Il ne faut pas redouter qu’une tension s’institue entre écoles
14 lus qu’à disparaître. 17. Une Université digne du nom , dont le rôle serait d’orienter les options fondamentales de notre so
15 cela, il faut réinventer une Université digne du nom . Car sans elle, les écoles professionnelles, l’économie, et la sociét
6 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’écrivain et l’événement (7-8 septembre 1968)
16 le produit de l’écriture ! Nul écrivain digne du nom qui ne soit par lui-même événement, et dont l’œuvre ne constitue une
17 ont la limite inférieure serait symbolisée par le nom de Françoise Sagan, ludion des moods à la mode, et la limite supérieu
18 s moods à la mode, et la limite supérieure par le nom de Franz Kafka, révélateur par l’angoisse du syndrome totalitaire tel
7 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
19 bâtir notre union, si l’on veut qu’elle mérite le nom d’Europe. Si l’on me demande maintenant comment on peut traduire en t
20 ans la diversité, et cette forme d’union porte un nom bien connu dans l’histoire des régimes politiques, c’est de toute évi
8 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
21 novembre 1970)ax ay Il a choisi le pays de son nom contre le continent de son prénom ; et jusqu’à près de la fin de son