1 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
1 our les deux raisons suivantes : premièrement, la passion créatrice un peu folle de jeunes gens qui se groupaient en écoles, au
2 époque. Il est trop clair qu’à l’absence de cette passion créatrice et de ce sens du mécénat, nul comité de coordination ne pou
3 s raisonnables, mais la culture est faite par des passions individuelles et par des petits groupes qui ne craignent pas de passe
2 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
4 agesse ? et à contrôler la matière plutôt que vos passions et vos désirs ? Bien peu d’entre nous sont capables de donner une rép
3 1965, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Un écrivain suisse (20-21 mars 1965)
5 qui ne peut séparer la pensée de l’action, ni la passion de la lucidité. Son expérience des hommes et de l’irrationnel qui con
4 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Témoignage sur Bernard Barbey (7-8 février 1970)
6 us la lueur d’un incendie, deux visages tordus de passion . Cette fureur admirable, dont la brutalité si longtemps désirée déliv
5 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
7 romaines et chrétiennes qui se contredisent avec passion ne se détruisent pas pour autant : entre leurs triomphes alternés, el
6 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
8 e militaire, plus efficace à lui tout seul par la passion et le mépris que tous les autres par le calcul et la flatterie, Charl
9 xtrême, le général de Gaulle fut le Tristan de la passion nationale. Son Iseut, c’est la France, et il est près de le dire dans
10 nu à son appel, et c’est en 1958. « Mais la vraie passion tristanienne se nourrit de retraits et d’obstacles, quitte à les susc