1 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
1 seul possible, de ce qu’on a nommé « l’Europe des patries  ». (Par malheur, l’auteur de ce mot d’ordre, M. Debré, ne pensait qu’
2 1965, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Un écrivain suisse (20-21 mars 1965)
2 isse (20-21 mars 1965)ab Qu’il n’y ait pas une patrie suisse mais deux douzaines, point de grands centres ni de marché inte
3 intellectuel, et surtout point de langue que ces patries aient en commun, semble interdire la possibilité d’un écrivain qui mé
3 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Entretien avec Denis de Rougemont (6-7 avril 1968)
4 re partie de plusieurs clubs. Je considère que ma patrie est Neuchâtel, ma nation la Suisse, ma nation culturelle la France, m
4 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
5 les moyens. Enfin tout cela dénote l’Europe comme patrie de la diversité. L’Européen moyen déclare parfois et pense toujours :
5 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
6 des guerres et aussitôt baptisé « sol sacré de la patrie  », des réalités absolument hétérogènes, qui n’ont aucune raison d’avo
6 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une réflexion sur le mode de vie plutôt que sur le niveau de vie (2 juin 1970)
7 omérés et de plastique sur « le visage aimé de la patrie  ». Les soldats gardent aux frontières un « sol sacré » que les usines
7 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
8 table aux fautes des Français, non au génie de la patrie . Phrase de passionné et non de démagogue, de romantique et non d’opp