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attirant les villes à soi et déplaçant de vastes
paysages
au gré d’une curiosité rêveuse. Mais soudain le regard est pris par u
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glio tout proche et ses palais alpestres. Et quel
paysage
autour de nous ! Le clocher aigu de l’église ; de maigres peupliers n
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ns une maison de campagne à vendre ; à travers un
paysage
où « l’orage de mai, proche et grondant de foudres mauves, laisse dan
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sous la fameuse couverture verte m’apportait les
paysages
pluvieux de plateaux au pied du Jura qui avaient ému ma prime adolesc
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celui des campagnes désolées où il se développe.
Paysages
tristes et sans violence, autour de ces êtres dont la détresse est d’
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upé découvrant le manoir perdu, des fumées sur un
paysage
d’hiver, et soudain, sous la lueur d’un incendie, deux visages tordus
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onvalescents, réfugiés politiques attirés par nos
paysages
, notre air, nos libertés. Mais le problème actuel se trouve posé par
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autant d’une industrie dont l’essor défigure nos
paysages
, détruit nos forêts et nos champs, pollue nos lacs et déverse un flot
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ière d’enregistrer la poésie dans l’existence. Un
paysage
me met en quête d’une mélodie, d’un contrepoint de mots ou d’une coul
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» ou côté « européen », c’est exactement le même
paysage
, les mêmes hommes. On y circule dans tous les sens… Cette idée de l’O
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uisent à coup sûr les amours qu’ils partagent. Ce
paysage
sublime est un pays réel, peuplé de vignerons et d’artisans, de petit
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es. Tout cela — nul n’y peut rien — aux dépens du
paysage
. Les « nécessités » de la vie tendent à détruire les raisons de vivre
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e, mais toujours d’en haut, rayonnants. Il y a le
paysage
mais aussi le paysan. Entre les dieux sereins et la terre labourée,