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un théologien d’aujourd’hui, lisant l’œuvre d’un
physicien
, ne serait plus en mesure de le juger comme l’Église jugea Galilée, p
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mplement, il ne comprendrait pas de quoi parle le
physicien
, et a fortiori ne saurait pas si le rapport entre les conclusions du
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aurait pas si le rapport entre les conclusions du
physicien
et la dogmatique de l’Église doit être estimé négatif, positif ou ind
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négatif, positif ou indifférent. J’ajoute que le
physicien
ne saurait pas davantage si sa démarche est conforme ou non à la théo
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leur département. Je reprends ici mon exemple du
physicien
et du théologien. Pour répondre à l’hindou qui interroge l’Occident s
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métaphysique indiscutable. Et il faudrait que les
physiciens
qui en discutent sachent que la dialectique de leurs problèmes actuel
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autres de construire des machines à traduire. Un
physicien
étudiant le principe de l’irréversibilité du temps est amené à écrire
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sibilité du temps est amené à écrire « qu’une vue
physicienne
stricto sensu du cosmos est trop étriquée » ; et que la physique de d