1 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
1 un théologien d’aujourd’hui, lisant l’œuvre d’un physicien , ne serait plus en mesure de le juger comme l’Église jugea Galilée, p
2 mplement, il ne comprendrait pas de quoi parle le physicien , et a fortiori ne saurait pas si le rapport entre les conclusions du
3 aurait pas si le rapport entre les conclusions du physicien et la dogmatique de l’Église doit être estimé négatif, positif ou ind
4 négatif, positif ou indifférent. J’ajoute que le physicien ne saurait pas davantage si sa démarche est conforme ou non à la théo
5 leur département. Je reprends ici mon exemple du physicien et du théologien. Pour répondre à l’hindou qui interroge l’Occident s
6 métaphysique indiscutable. Et il faudrait que les physiciens qui en discutent sachent que la dialectique de leurs problèmes actuel
7 autres de construire des machines à traduire. Un physicien étudiant le principe de l’irréversibilité du temps est amené à écrire
8 sibilité du temps est amené à écrire « qu’une vue physicienne stricto sensu du cosmos est trop étriquée » ; et que la physique de d