1
erreurs que Luther conduit à Hitler : il suffit,
pour
y arriver, d’oublier quelques faits importants. Il suffit d’oublier,
2
en détestant les chefs nazis, « il se ferait tuer
pour
Hitler », car l’ambition réelle du Führer, croyait-il, était d’appliq
3
le programme communiste. (Je donne cette opinion
pour
ce qu’elle vaut.) Le petit livre que j’ai écrit là-dessus m’a valu de
4
sait froidement d’être vendu au régime hitlérien,
pour
avoir soutenu que des communistes approuvaient Hitler. L’auteur de ce
5
e quel badaud d’un soir de juin pouvait s’annexer
pour
toujours le bonheur d’un couchant sur Saint-Germain-des-Prés, le gris
6
omme et de cette Ville était peut-être nécessaire
pour
faire comprendre au monde entier qu’il est des victoires impossibles.
7
enfin, ils comprendront qu’aucun triomphe ne vaut
pour
eux la moindre des réalités humaines qu’ils ont tuées. « …car ils ne
8
emplons la chaîne, et qui leur servent de repères
pour
se diriger dans la ville. Le vent fou, l’air ozone, et la lumière écl
9
nt : de la route américaine de la vie. Ce qui est
pour
nous concept, forme arrêtée, devient chez eux chemin, mouvement indéf
10
ureaux se vident au-dessus du cinquantième étage,
pour
peu que la pression baisse à Wall Street. Un grand malaise étreignait
11
parle. On n’a pas eu besoin de changer de régime
pour
le réaliser. Les autostrades américaines ne sont pas une réclame poli
12
t pas une réclame politique, ni même un expédient
pour
lutter contre le chômage. Elles sont le produit du rêve et de la vita
13
eul ouvrage que les Américains peuvent consulter,
pour
se renseigner sur notre pays, et il s’en vend encore régulièrement. J
14
de deux ans. Ce qui fut sans doute tout bénéfice
pour
les lettres ? Je rapporte quatre manuscrits, dont trois sont terminés
15
s à elle. Peut-on employer ce mot de civilisation
pour
un peuple si neuf ? Disons que leur conception de la vie est différen
16
i, comme au centre du monde. Et, ne serait-ce que
pour
mieux comprendre leur continent grâce à l’éloignement, il faudrait qu
17
s eussent l’occasion de quitter leur « province »
pour
s’y rendre. N’ont-ils donc rien à craindre de l’américanisme ? Pour c
18
’ont-ils donc rien à craindre de l’américanisme ?
Pour
ce qui est du matérialisme, avec son culte du confort et de la machin
19
culte du confort et de la machine, son admiration
pour
le progrès technique, les Américains n’ont en somme pas grand-chose à
20
urs contribuent en ne faisant de gros tirages que
pour
les ouvrages médiocres. Quand un livre a du succès, on le refait cent
21
itique pourrait avoir d’assez graves conséquences
pour
l’Europe…1 1. L’entretien se termine par un commentaire conclusif
22
comme Oltramare ? Nous avons tous les deux écrit
pour
la radio, hors de Suisse, sur la politique. Soit. Mais un avocat qui
23
, donc de la Suisse. J’écrivais contre les nazis,
pour
les démocraties, donc pour la Suisse. Il en résulte à l’évidence que
24
vais contre les nazis, pour les démocraties, donc
pour
la Suisse. Il en résulte à l’évidence que je faisais en Amérique exac
25
un peu. Son avocat garde le droit de me dénoncer
pour
avoir combattu l’hitlérisme, et Aragon le droit de me calomnier sous
26
Nous avons tout ce qu’il faut, en Suisse romande,
pour
nourrir une littérature. Nous avons peut-être un peu plus que bien d’
27
rmanique. Mais nous n’avons rien de ce qu’il faut
pour
assurer le succès d’une œuvre : publicité, mouvement autour d’un livr
28
agine-t-on Chateaubriand se demandant s’il existe
pour
lui « une possibilité de salut » comme écrivain, « un public, des app
29
helvétique des éléments d’appréciation suffisants
pour
alimenter une littérature qui ne soit pas uniquement et strictement «
30
us avez trop souffert la longue horreur des camps
pour
croire au sursaut de l’humain qui pourrait seul sauver l’Europe. Les
31
vrai, vous ne pourriez plus même le dire, et cela
pour
des raisons que vous avez bien connues… Or non seulement vous le dite
32
et tous ses satellites. Sur ces 300 millions, dix
pour
cent de communistes ? Mais sur les 100 millions de satellites, quatre
33
les 100 millions de satellites, quatre-vingt-dix
pour
cent qui ne sont pas communistes. Une Europe en partie ruinée ? Mais
34
les nations de l’Europe sont solidaires en fait,
pour
le meilleur quand elles le reconnaissent, et pour le pire quand elles
35
pour le meilleur quand elles le reconnaissent, et
pour
le pire quand elles le nient. Dans la confusion générale qui a suivi
36
se, en termes simples et concrets. La vraie lutte
pour
l’Europe commence. Elle ne sera pas gagnée dans ces lieux indécents q
37
vec d’autres cantons ou pays. Votre congrès ayant
pour
premier objectif de surmonter cette tendance défensive, faussement tr
38
ue. Il est clair que nos villes sont trop petites
pour
se payer chacune un laboratoire de recherches nucléaires, pour ne pre
39
chacune un laboratoire de recherches nucléaires,
pour
ne prendre que cet exemple. Mais qu’on ne dise pas qu’elles sont trop
40
de créations du premier ordre. Et cela, je crois,
pour
les deux raisons suivantes : premièrement, la passion créatrice un pe
41
des petits groupes qui ne craignent pas de passer
pour
extravagants ou excessifs. Les comités sont par définition prudents e
42
e rationaliser les activités dont ils s’occupent,
pour
les rendre plus économiques ou plus rentables. Mais la culture vivant
43
dies et protégeant en revanche trop de médiocrité
pour
peu qu’elles aient été un jour inscrites à quelque budget d’État, et
44
-ci du danger que le Marché commun représenterait
pour
notre Suisse fédéraliste. Mais ce n’est pas le fait de supprimer nos
45
nt exposé qu’il présentera aujourd’hui au congrès
pour
une collaboration culturelle romande, à Lausanne. »
46
ils ont en commun certains traits qu’ils tiennent
pour
essentiels : leur union consiste donc à restaurer ou à consolider par
47
. La seconde proposition n’est pas aussi évidente
pour
chacun. Cependant, il n’est pas difficile de l’établir. Quand je dis
48
i se pose est de savoir s’il faut et s’il suffit,
pour
« faire l’Europe », que toutes les nations du continent s’intègrent d
49
Tout système centralisé ou institution qui aurait
pour
effet de déprimer les autonomies locales et d’uniformiser nos coutume
50
sur une organisation fédérative de nos pays, aura
pour
mission essentielle d’orienter leur action commune à l’échelle mondia
51
cidentale et les responsabilités qui en résultent
pour
les Européens. La Suisse est aussi bien placée que n’importe quel aut
52
t aussi bien placée que n’importe quel autre pays
pour
faire valoir ces vues mondiales : on ne l’accusera jamais de néo-colo
53
ialisme ! Et elle est mieux placée que tout autre
pour
faire valoir les avantages d’une union de type fédéral, conforme à so
54
use ? Une union faite sans nous ne sera pas faite
pour
nous, c’est l’évidence. Mais nous aurons perdu le droit de nous en pl
55
érique. Liberté Invité par la Fondation Ford
pour
me promener dans les États-Unis sans l’ombre d’une obligation — je ve
56
nt trois noms européens. Les Européens goguenards
pour
qui l’Amérique signifie Coca-Cola, twist et voitures géantes, sont en
57
« Toutes les personnes de mon espèce s’arrangent
pour
avoir des maisons, cabanes, pavillons, ce que vous voulez, à deux heu
58
Georges Mathieu. Tout en haut, notre appartement
pour
quelques jours. Une musique bien rythmée remplit l’étage. Je pousse d
59
n doyen de faculté. Une vingtaine de professeurs,
pour
la plupart auteurs connus, poètes, romanciers, critiques et sociologu
60
tés, religion, sciences, arts, musique et danse —
pour
3 à 4000 dollars par an. Et ce seront elles qui domineront la société
61
éjeuner et dîner. J’arrive à 11 heures au campus,
pour
mon premier rendez-vous. Labyrinthe d’allées entre des bâtiments de s
62
s la Salle de Bal, D. de R., président du Congrès
pour
la liberté de la culture, et auteur de L’Amour et l’Occident donner
63
rouvons-le, c’est ce que le monde attend de nous,
pour
nous rejoindre en fin de compte, Russes compris. J’ai terminé, les qu
64
espère bien que vous n’attendez pas ma permission
pour
aimer les Russes ! » (la salle croule.) Un couvent laïque. — Près d
65
Fondation Ford a créé un Centre d’études avancées
pour
les sciences du comportement. Un club-house domine la colline : resta
66
s spécialités. Les historiens recourent aux maths
pour
évaluer les coalitions politiques, les luttes internes du régime sovi
67
eilleures chances ? L’idée que la littérature ait
pour
fonction d’exprimer l’homme en tant que national ou régional — homo h
68
l’on se plaint de manquer d’instruments adéquats
pour
exprimer ces thèmes rebattus ! Si cela ne donne plus rien, n’est-ce p
69
civilisations, oui, sont épuisées. Elles ne font,
pour
l’essentiel, que prendre ce que nous leur donnons. Mais si nos mythes
70
est assez bien formé, assez puissant, assez rusé
pour
trouver soudain, quelles que soient les circonstances, de nouvelles p
71
siècle nous donnerait des éléments d’appréciation
pour
le xxie ? On peut tracer des perspectives. On ne peut pas prophétise
72
diverses, et incapables de plus jamais s’entendre
pour
accomplir leur dessein. En effet, chacun des groupes exerçant une mêm
73
lus (comme on le faisait il y a quelques siècles)
pour
répondre à des besoins certains et à des nécessités limitées de cette
74
léry, l’interprétation de Dante me paraît valable
pour
le monde moderne tout entier. Et, à l’intérieur de l’Europe, elle fai
75
e Tour du Savoir, tellement démesurée qu’il faut,
pour
l’édifier, diviser maîtres d’œuvre et ouvriers en équipes spécialisée
76
rique d’égalité, au lendemain de l’ère coloniale.
Pour
le moment et pour des décennies encore, c’est la culture occidentale
77
u lendemain de l’ère coloniale. Pour le moment et
pour
des décennies encore, c’est la culture occidentale qui domine tout, u
78
he, tout interfère, tout coopère ou tout se mêle,
pour
le meilleur et pour le pire. Arrêtons-nous quelques instants pour nou
79
tout coopère ou tout se mêle, pour le meilleur et
pour
le pire. Arrêtons-nous quelques instants pour nous demander quelles s
80
et pour le pire. Arrêtons-nous quelques instants
pour
nous demander quelles sont les causes, le moteur et l’agent de ce mou
81
ècles — de l’esclavage. Le droit des gens valable
pour
toute race est une création de l’Europe, durant l’époque colonialiste
82
echniques et procédés, et l’on se réclame, fût-ce
pour
les retourner contre l’Europe, de ses doctrines politiques et sociale
83
ujourd’hui. Ces données numériques, que je prends
pour
images, sont probablement vraies en gros dans le domaine des sciences
84
igner à que l’accroissement même du savoir traîne
pour
conséquence la division de l’esprit et l’accroissement de l’ignorance
85
e, ne sachant plus s’expliquer les uns aux autres
pour
quelles fins ils l’avaient entreprise. Mais l’Université, dans nos pa
86
nt besoin d’elle. Si elle est devenue trop petite
pour
ses tâches immédiates, qu’on l’agrandisse ! Les crises de croissance
87
s crises de croissance n’ont jamais été mortelles
pour
les administrations : elles représentent an contraire leur régime nor
88
gênante — car nous voici de moins en moins armés
pour
y répondre. Le problème qu’on soulève ici, et qui est celui du princi
89
ements particuliers et divergents. L’originalité,
pour
elles, n’est pas vertu, mais atteinte à l’ordre sacré — ou simple err
90
air qu’une Asie qui tenait la matière et le corps
pour
essentiellement illusoires n’allait pas perdre à leur étude le meille
91
ds ici mon exemple du physicien et du théologien.
Pour
répondre à l’hindou qui interroge l’Occident sur son obsession de l’H
92
scures, un sujet qui demanderait de gros ouvrages
pour
être exposé sérieusement. Ce qu’il m’importe de marquer par cet exemp
93
sa forme fédéraliste, non unitaire, que je tiens
pour
la seule possible et désirable. Comment résoudre ce problème dans le
94
réfréner la spécialisation. Je la tiens également
pour
illusoire. Certes, on peut soutenir que la spécialisation du savoir,
95
actif avec, disons, la psychologie au sens large,
pour
jeter les bases d’une science beaucoup plus compréhensive. Et chacun
96
de la division du savoir en langages spécialisés.
Pour
y répondre, il faut envisager la création d’instituts ou de centres d
97
du Tout. Vraiment européenne, puisqu’elle aurait
pour
fin de recréer l’union dans la diversité, qui est la formule de notre
98
c’est très peu de chose plus une culture. Quatre
pour
cent des terres du globe multipliées par une culture qui a fait le Mo
99
tives qui se dessinent, aux États-Unis notamment,
pour
faire de la mathématique un substitut moderne au latin de jadis, la n
100
t, tellement plus rare, tellement plus exemplaire
pour
l’humanité à venir que le « dictateur… ». (Mais j’allais oublier de d
101
n plein travail — on ne devrait jamais faire ça —
pour
découvrir qu’avant, ailleurs, au Flore, chez Lipp, depuis vingt ans e
102
e militais, cessât tout d’un coup d’être un mythe
pour
devenir du même coup mon ami, après un dîner tête-à-tête dans un peti
103
à paraître ces prochains jours. C’est que Breton,
pour
toute la haine vigilante qu’il n’a cessé de vouer sa vie durant aux m
104
André Breton dès son arrivée à New York. Il avait
pour
noyau quelques peintres qui allaient changer là-bas le cours des arts
105
tait alors son nouvel intercesseur : il insistait
pour
m’en lire des chapitres décrivant le travail et les plaisirs « réglés
106
u’on ne l’avait fait saint Augustin, qu’il tenait
pour
l’ancêtre des jansénistes. Nous lui dîmes qu’il y avait là-dessus des
107
é d’inventer un chemin qui ne pouvait exister que
pour
lui seul. De personne je ne suis à ce point sûr qu’il a toujours suiv
108
faut bien que j’appelle ici d’un terme signifiant
pour
moi la relation d’un homme au transcendant, sa vocation. ad. Roug
109
cite ces phrases choisies dans un bref liminaire
pour
leur cadence, leurs articulations déliées mais fort précises, car ell
110
ment elle n’aura pas contaminé son art d’écrire «
pour
le plaisir ». Je pense à des récits comme Valets, Reines, Rois, Daphn
111
ève des familles de soldats disparus. « À Genève,
pour
trouver mon fils » porte une enveloppe, en guise d’adresse. Et une au
112
e mondiale, une délégation du CICR se rend à Rome
pour
essayer de sauver les blessés bombardés par les Italiens en Éthiopie.
113
a Pitoëff, d’Adolphe Appia et de Jaques-Dalcroze,
pour
lequel Chenevière a écrit le livret des Premiers Souvenirs. Et le pas
114
obes que leur composait Worth trente ans plus tôt
pour
un bal de la Cour (« Avouez que nous étions un peu rivales… »), s’élè
115
s de tendresse, de scrupules et d’humour, et qui,
pour
moins griffer, d’autant mieux charme. Aux jeunes gens et jeunes fille
116
puleux, par bonté, il voyait tout, pensait à tout
pour
ses amis, et savait écouter comme personne, tout en vous enveloppant
117
ureux qu’il portait avec juste assez de gaucherie
pour
une impeccable élégance… af. Rougemont Denis de, « J. Robert Oppen
118
nements les plus importants de la vie littéraire.
Pour
l’élaboration de ce dense recueil, qui groupe Le Paysan du Danube ,
119
hes, notamment à la guerre : faire la révolution,
pour
nous, signifiait refaire un ordre, là où menaçait la guerre, qui résu
120
ue, l’opposition du fascisme et de la démocratie,
pour
des jeunes gens qui voulaient faire la révolution, n’était pas nette.
121
à un public français qui ne les connaissait pas.
Pour
marquer une différence, je dirai que l’on trouvait, chez Esprit plus
122
i que l’on trouvait, chez Esprit plus de méfiance
pour
les réalités scientifiques et techniques, qui nous intéressaient, à
123
ntinomiques, valables l’une et l’autre, telle est
pour
moi la formule de base du fédéralisme. Maintenir les contraires, sans
124
ne œuvre comme celle de Denis de Rougemont est là
pour
nous aider à ne pas désespérer complètement de l’esprit. ag. Roug
125
’avait toujours dit… Sans plus de précautions, et
pour
faire court, je condenserai en quelques thèses des réflexions parfois
126
a méthode scolastique du sic et non (le débat des
pour
et des contre) mise à la mode par le maître à penser des jeunes gens
127
ienter les esprits et les activités : elle aurait
pour
fonction de chercher et de dire le Sens de la société. Il se pourrait
128
s, elles aussi, sont différentes, voire opposées.
Pour
les écoles ou facultés : acquisition, apprentissage, initiation corre
129
ssage, initiation correcte aux savoirs existants.
Pour
l’Université véritable : évaluation critique, recherche, initiative c
130
nnaissance. 6. Celui qui veut apprendre un métier
pour
en vivre n’a que faire de la contestation. Et celui qui entend contes
131
ants. Une école de médecine peut être trop grande
pour
tel canton, une école polytechnique pour tel autre : elles exigent la
132
p grande pour tel canton, une école polytechnique
pour
tel autre : elles exigent la coopération de plusieurs cantons, ou la
133
même, les recherches nucléaires sont trop grandes
pour
la Suisse, exigent la dimension continentale, etc. Tous les problèmes
134
able à toute société de type européen, d’une part
pour
faire progresser le savoir (recherches au-delà de l’usage prévisible
135
mpte des « besoins de l’économie »), d’autre part
pour
orienter la société, c’est-à-dire formuler ses options fondamentales,
136
n poussera les spécialisations au plus haut degré
pour
chaque discipline ; dans l’autre, on se livrera à une perpétuelle mis
137
es d’un studium médiéval : dix à quinze étudiants
pour
un maître. Ces groupes pouvant se combiner librement et de manières v
138
sique, chimie, astronomie, etc., sont trop chères
pour
une ville, un canton : la concentration des moyens au niveau national
139
nts modes de relations entre l’œuvre et l’époque.
Pour
simplifier, je distinguerai trois types d’auteurs qui se définissent
140
coopération au niveau culturel. Nous avons réuni
pour
la première fois les directeurs d’administration d’agences atomiques
141
tomiques de six pays avec le concours de l’Unesco
pour
créer un laboratoire européen de recherches nucléaires. Le CERN a été
142
d mouvement qui vient d’être appuyé par de Gaulle
pour
diviser le pays en un certain nombre de régions. Je pense qu’on finir
143
se qu’on finira par se mettre d’accord assez vite
pour
la France sur une dizaine de régions, plus Paris. Notre idée de fédér
144
aulle a annoncé sa décision de dissoudre le Sénat
pour
le remplacer par une assemblée élue par les régions. Il y a à ce suje
145
t nous, qui pourrait être nous. Bien trop curieux
pour
être autoritaire, il n’avait de goût que pour nos singularités (que d
146
eux pour être autoritaire, il n’avait de goût que
pour
nos singularités (que d’autres nommeraient vocations) et il les respe
147
ère que je suis seul à connaître. Je m’arrangerai
pour
y faire figurer les questions qu’il me soumettra (c’est sa manière de
148
moitié de Penser avec les mains a été composée
pour
prévenir les objections qu’il avait faites à la seconde, dont je croy
149
an P. (comme il signait ses brefs billets) a joué
pour
moi le rôle du lecteur idéal dont on suppute et redoute les exigences
150
ures de l’œuvre entière : Victor Hugo se prenait
pour
un pape, Lamartine pour un homme d’État et Barrès pour un général. Pa
151
: Victor Hugo se prenait pour un pape, Lamartine
pour
un homme d’État et Barrès pour un général. Paul Valéry attend des Let
152
un pape, Lamartine pour un homme d’État et Barrès
pour
un général. Paul Valéry attend des Lettres ce qu’un philosophe n’ose
153
le crime et la merveille. « La poésie, dit-il, a
pour
cela ses moyens, dont les hommes sous-estiment l’efficacité. » Il sem
154
r et à l’idée. Mais non pas perdu tout à fait ni
pour
toujours, puisque ce « je ne sais quoi de libre, de joyeux et peut-êt
155
n oublie son intrigue et la justesse de l’analyse
pour
ne plus évoquer que des visions où se condense le sentiment du récit.
156
ières qu’il a connues avec de si constants succès
pour
ceux qui savent — dans l’armée, la diplomatie, et la vie internationa
157
obert Schuman, qu’il est possible d’unir nos pays
pour
cette raison littéralement fondamentale qu’une unité de base existe,
158
réveillés, mis en mouvement, fût-ce contre nous,
pour
le meilleur et pour le pire. Et de là viennent aussi nos divisions mo
159
ouvement, fût-ce contre nous, pour le meilleur et
pour
le pire. Et de là viennent aussi nos divisions mortelles, nos efforts
160
ennent aussi nos divisions mortelles, nos efforts
pour
les surmonter par le recours à des instances universelles, et toutes
161
écrivait cette phrase décisive, qu’il faut tenir
pour
la formule même de l’unité européenne : « Ce qui s’oppose coopère, et
162
se contredisent avec passion ne se détruisent pas
pour
autant : entre leurs triomphes alternés, elles durent dans l’ombre de
163
sités et de l’instauration d’une force suffisante
pour
garantir leur concurrence féconde, dans la paix. Je ne vois pas d’aut
164
s : s’unir, au-delà de nos fausses souverainetés,
pour
préserver nos vraies diversités — créer un pouvoir fédéral pour la sa
165
nos vraies diversités — créer un pouvoir fédéral
pour
la sauvegarde de nos autonomies. Car ces autonomies seront perdues un
166
e notre temps, puisqu’il est à la fois trop petit
pour
agir à l’échelle mondiale ; trop grand pour permettre une participati
167
petit pour agir à l’échelle mondiale ; trop grand
pour
permettre une participation civique réelle ; et sans correspondance a
168
et le culte prolongé d’un mythe, il faut choisir.
Pour
la première fois dans son histoire, l’homme se voit aujourd’hui en si
169
és, concertés à long terme : il fallait se battre
pour
survivre. Aujourd’hui que le nécessaire est assuré, on se bat pour le
170
jourd’hui que le nécessaire est assuré, on se bat
pour
le contrôle de zones d’influence plus idéologiques que commerciales (
171
commerciales (voir le Vietnam) et l’on travaille
pour
le profit, qui est en somme du superflu. Mais dès lors que ce choix d
172
vivante ? Et quel prix sommes-nous prêts à payer
pour
cela ? Le prix de certaines libertés, ou le prix d’un confort toujour
173
Europe, il nous faut décider si notre union aura
pour
but la puissance collective ou la liberté des personnes. Il nous faut
174
oici donc le dilemme présent : Si nous attribuons
pour
finalité à la Cité européenne de demain la puissance, c’est-à-dire la
175
, mais dont la réalisation ne saurait être exclue
pour
autant. Au contraire, si nous donnons pour finalité à la Cité europée
176
exclue pour autant. Au contraire, si nous donnons
pour
finalité à la Cité européenne la liberté, c’est-à-dire les plus grand
177
sement à la tâche de construire des modèles neufs
pour
une cité rendue à l’usage de l’homme. Il faut mettre en commun à l’éc
178
fédérale continentale, tout ce qui est nécessaire
pour
garantir les autonomies de tous ordres, régionales, communales et per
179
jecter en ce point que la politique a toujours eu
pour
fin réelle la puissance ; et je crois bien que toutes les civilisatio
180
surdes. Elles sont encore efficaces, il est vrai,
pour
gêner ce qu’il faudrait aider : les échanges culturels, les mouvement
181
gricoles. Mais elles ne servent absolument à rien
pour
arrêter ce qui devrait l’être : les tempêtes et les épidémies, la pol
182
nt pas économiste, si nos États-nations délimités
pour
la plupart au xixe et au xxe siècle, se trouvent vraiment former, c
183
seulement nous ferons l’Europe, et nous la ferons
pour
toute l’humanité, nous lui devons cela ! Une Europe qui ne sera pas n
184
t le 15 avril en recevant le prix Robert Schuman.
Pour
l’orateur, seul le fédéralisme peut structurer l’Europe. »
185
fric ». Or ce motif est le même des deux côtés :
pour
eux, gagner vite et rentrer, pour nous, produire plus grâce à eux et
186
es deux côtés : pour eux, gagner vite et rentrer,
pour
nous, produire plus grâce à eux et les renvoyer au plus vite. Il semb
187
tranger contre cinq ou six Suisses représenterait
pour
notre mode de vie — notre « helvéticité », comme vous osez l’écrire !
188
s’engage pas à les réaliser, alors je dis : votez
pour
, votez contre, dans les deux cas vous aurez tort, car l’enjeu véritab
189
cesse des contes ou la madone des fresques… créée
pour
des succès achevés ou des malheurs exemplaires ». Il l’a longtemps ai
190
vaise foi protectrice, ou de « rationalisations »
pour
parler le jargon freudien. Ils ont trouvé trente-six raisons d’écrire
191
rouvé trente-six raisons d’écrire. Ils ont milité
pour
des causes. Ils ont même inventé la notion de l’engagement, dans les
192
i elle veut devenir institutrice, elle répond : «
Pour
faire chier les mômes ! » Ces mauvais sentiments animent aussi, je le
193
ins, certains de ceux qui prétendent n’écrire que
pour
le salut de leurs lecteurs. En fait, on commence à écrire vers 16 ou
194
écrire vers 16 ou 17 ans, sans savoir pourquoi ni
pour
quoi. Et quand beaucoup plus tard, essayant de répondre à l’attente d
195
ne pensée, vient d’éveiller en vous une émotion :
pour
la prolonger, la faire vôtre, et rejoindre l’auteur qui vous l’a révé
196
tre, et rejoindre l’auteur qui vous l’a révélée —
pour
devenir aussi admirable aux yeux des autres qu’il est admiré par vous
197
s’inventera de belles et bonnes raisons d’écrire
pour
exposer, pour convaincre ou émouvoir, pour dire quelque chose à quelq
198
e belles et bonnes raisons d’écrire pour exposer,
pour
convaincre ou émouvoir, pour dire quelque chose à quelqu’un, au publi
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écrire pour exposer, pour convaincre ou émouvoir,
pour
dire quelque chose à quelqu’un, au public d’une revue littéraire ou à
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téraire ou à toute une nation par la TV. C’est le
pour
quoi qui devient alors le vrai pourquoi, la cause finale qui agit com
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crit d’abord sans cause, je ne saurais pas écrire
pour
une cause. Si l’on n’a pas d’abord écrit pour rien, pour le plaisir,
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ire pour une cause. Si l’on n’a pas d’abord écrit
pour
rien, pour le plaisir, à cause de la démangeaison, on ne deviendra ja
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e cause. Si l’on n’a pas d’abord écrit pour rien,
pour
le plaisir, à cause de la démangeaison, on ne deviendra jamais un écr
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n, on ne deviendra jamais un écrivain en écrivant
pour
tel usage bien défini, pour tel objet tout extérieur à l’écriture, et
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écrivain en écrivant pour tel usage bien défini,
pour
tel objet tout extérieur à l’écriture, et qui ne dépend nullement du
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ien ajouter à quelque ouvrage obscurément jailli,
pour
l’achever. (Ainsi j’écris cela parce que F. J. m’a demandé d’écrire p
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d’écrire pourquoi j’écris.) Mais surtout, j’écris
pour
mouvoir : ma cause finale devient ma vraie motivation, et me libère d
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e, l’autre m’engage. a) J’écris par pure envie et
pour
savoir pourquoi. Pour aller ainsi je ne sais où, en quête obscure et
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) J’écris par pure envie et pour savoir pourquoi.
Pour
aller ainsi je ne sais où, en quête obscure et fascinante, selon ce v
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non pas l’événement. Je cherche un sens. J’écris
pour
chercher le sens au bout du compte. Un sens qui ne peut être défini q
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uge sur la remorque, veuillez donc lire : J’écris
pour
vous. az. Rougemont Denis de, « Pourquoi j’écris », Gazette de Lau
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a Suisse, et qui répondait : « Le fédéralisme est
pour
votre pays une bonne solution. Ce qui ne veut pas dire qu’elle soit g
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être une « solution » aux problèmes de la Suisse,
pour
la simple raison qu’il l’a faite et que seul il la définit en tant qu
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mise en commun des tâches publiques trop lourdes
pour
chacun mais réalisables par tous — et de celles-là seules. Chargé d’e
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e fédéralisme, est au contraire la seule possible
pour
les Européens qui éprouvent le besoin de s’associer librement par-des
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une reprise, l’occasion d’exprimer mon admiration
pour
« C. J. B. » me fut offerte, toujours saisie avec reconnaissance. Mai
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jours saisie avec reconnaissance. Mais je gardais
pour
cet anniversaire un éloge dont tout me faisait craindre qu’il fût de
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ergie grande et en partie secrète. Trop passionné
pour
se montrer jamais sentimental, trop pessimiste pour moraliser, et ave
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ur se montrer jamais sentimental, trop pessimiste
pour
moraliser, et avec trop de distance naturelle pour avoir à jouer la h
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our moraliser, et avec trop de distance naturelle
pour
avoir à jouer la hauteur, affable mais non sans malice, et ce qu’il f
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n] (8 décembre 1972)bc bd Certains pédagogues,
pour
ne pas parler des autorités scolaires, n’ont apprécié qu’à demi la ré
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regrette infiniment, car j’ai beaucoup de respect
pour
les maîtres, et ils ont toute mon amitié. J’ai reçu une lettre, récem
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nationaliser l’enseignement. Quel sens peut avoir
pour
un enfant l’histoire suisse, s’il ignore celle de sa région ? À Couve
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t bien que rien n’y justifie les frontières. Idem
pour
l’écologie, où la perception des enfants, déjà très jeunes, est imméd
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ie lourde de l’URSS. Exactement ce qu’est la Ruhr
pour
l’Allemagne. Côté « asiatique » ou côté « européen », c’est exactemen
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nt s’arrêter, sortir de l’urgent et du quotidien,
pour
pouvoir tout reconsidérer. Pour en sortir, il faut une véritable révo
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et du quotidien, pour pouvoir tout reconsidérer.
Pour
en sortir, il faut une véritable révolution. L’impossible révoluti
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des occasions… Aucune place ne lui est faite — et
pour
cause — dans nos programmes. Moi, j’ai appris à lire hors de l’école,
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herche à institutionnaliser le travail collectif,
pour
développer le sens social. Dans le premier cas, comme vous le dites,
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possible, c’est-à-dire le droit de différer. Ceci
pour
le premier terme de votre « alternative »… qui n’en est pas une. Car
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de besoin inné de s’instruire et de s’entraider.
Pour
lui, l’homme naît bon, et l’école le corrompt. Or je crains que, livr
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t trouver leur point d’équilibre dynamique. Ainsi
pour
le fédéralisme, qui est si mal compris, même en Suisse. Il s’agit de
233
e : la femme et l’homme doivent exister à la fois
pour
soi et pour l’autre, sans qu’il y ait confusion des deux, ni subordin
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et l’homme doivent exister à la fois pour soi et
pour
l’autre, sans qu’il y ait confusion des deux, ni subordination de l’u
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n peu de l’école… Comment changer l’école ?
Pour
y revenir, et pour terminer : comment changer l’école ? Par le biais
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Comment changer l’école ? Pour y revenir, et
pour
terminer : comment changer l’école ? Par le biais de la Campagne d’éd
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ez ingénieuse, celle de me faire inventer le grec
pour
l’apprendre. Il me proposa de nous faire à nous deux une langue qui n
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i ne serait connue que de nous ; je me passionnai
pour
cette idée. Nous formâmes d’abord un alphabet, où il introduisait les
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ême un collégien lausannois, bien connu chez nous
pour
avoir prononcé un discours inconvenant lors d’une cérémonie de promot
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e l’homme, estime-t-il, que d’aligner les esprits
pour
la commodité des pouvoirs établis. »
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retrouvé le contact avec la nature, et ce contact
pour
lui vital s’est révélé mortel pour la nature. C’est l’histoire d’un a
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et ce contact pour lui vital s’est révélé mortel
pour
la nature. C’est l’histoire d’un amour fatal : dès qu’un touriste déc
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détruire les raisons de vivre. Mais que tient-on
pour
nécessaire ? Les maxima contradictoires, toujours à l’œuvre dans tout
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nsensibles de l’usage, usure et patine à la fois.
Pour
garder le Lavaux que nous aimons, faudrait-il qu’ils renoncent à le v
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uvent un intérêt vital, et non pas archéologique.
Pour
sauver Venise, il faudra la changer. Inaliénable, oui, inaltérable, n
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un directeur qui n’a dit que ce qu’il devait dire
pour
défendre les intérêts de sa compagnie ; mais votre rédacteur a jugé b
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anvier 1979, en prononçant au Palais de Beaulieu,
pour
introduire les « Rencontres internationales d’urbanisme »12, une conf
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survivants de mon auditoire d’alors, devenus PDG
pour
la plupart et qui n’ont rien appris depuis vingt ans, alors oui, ces
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seraient de nature à me disqualifier radicalement
pour
traiter le sujet de l’énergie en général, et de ses rapports avec l’a
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par des équipes organisées de manière rigoureuse…
Pour
moi, il est essentiel que les centrales nucléaires soient peu nombreu
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rxiste omnipotent, il faut n’avoir rien lu de moi
pour
oser le répéter à longueur de colonnes. Est-il pensable qu’une cause