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i bien que les seuls qui s’en tinrent à la langue
sacrée
furent ceux qui avaient refusé de prendre part à l’œuvre et s’étaient
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d’une séparation, voire d’une opposition entre le
sacré
et le profane, entre la cohérence globale définie par la théologie et
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produit, autant que l’on sache, dans les cultures
sacrées
et homogènes de l’Asie brahmanique ou bouddhiste, de l’Afrique noire
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érique précolombienne. Dans ces cultures tout est
sacré
. La distinction sacré-profane n’existe pas, en ce sens que sagesse sp
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r elles, n’est pas vertu, mais atteinte à l’ordre
sacré
— ou simple erreur d’exécution. Mutatis mutandis, il en va de même da
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référer non seulement aux conciles et aux textes
sacrés
, mais aux fondements de la doctrine physique du Temps, aux discussion