1 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
1 i bien que les seuls qui s’en tinrent à la langue sacrée furent ceux qui avaient refusé de prendre part à l’œuvre et s’étaient
2 d’une séparation, voire d’une opposition entre le sacré et le profane, entre la cohérence globale définie par la théologie et
3 produit, autant que l’on sache, dans les cultures sacrées et homogènes de l’Asie brahmanique ou bouddhiste, de l’Afrique noire
4 érique précolombienne. Dans ces cultures tout est sacré . La distinction sacré-profane n’existe pas, en ce sens que sagesse sp
5 r elles, n’est pas vertu, mais atteinte à l’ordre sacré — ou simple erreur d’exécution. Mutatis mutandis, il en va de même da
6 référer non seulement aux conciles et aux textes sacrés , mais aux fondements de la doctrine physique du Temps, aux discussion
2 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
7 cence loin de Paris, puis un symbole (refusé mais sacré ) de la révolte inefficace, aux yeux sévères des jeunes mouvements per
3 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
8 par le sort des guerres et aussitôt baptisé « sol sacré de la patrie », des réalités absolument hétérogènes, qui n’ont aucune
9 . Ou plutôt, de les dépasser, de démystifier leur sacré , de percer leurs frontières comme des écumoires, de narguer ces front
10 l’union en jurant de ne jamais toucher aux droits sacrés de vos États-nations ! Vous savez bien que vous ne pourrez pas unir l
4 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une réflexion sur le mode de vie plutôt que sur le niveau de vie (2 juin 1970)
11 ie ». Les soldats gardent aux frontières un « sol sacré  » que les usines et les traxs derrière leur dos profanent, défoncent
12 oissance indéfinie du PNB est-elle une obligation sacrée , donc indiscutable, ou faut-il la subordonner à d’autres impératifs,