1 a défaite irrémédiable devant l’esprit, devant le sentiment , devant ce qui fait la valeur de la vie. Je songe au chef de guerre q

2 llez croire, Monsieur le rédacteur en chef, à mes sentiments bien cordiaux. p. Rougemont Denis de, « Une lettre de Denis de Rou

3 ’expression littéraire. Il est exclu de parler de sentiment , bien entendu, ça ne se fait plus, mais l’horizon de cet art poétique

4 al capable d’inspirer et d’orienter la pensée, le sentiment et l’action non seulement des esprits créateurs et de la jeunesse eur

5 Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)ae La mémoire a ses caprices ; l’oubli même p

6 teurs peut-être, obéissant à la seule logique des sentiments . D’où le pouvoir émouvant de tant de ces pages. À vrai dire, il y a l

7 peut désigner facilement, faites d’atmosphère, de sentiment , et d’un regard imaginant. Presque rien n’eût été enregistré par l’ob

8 on. Je l’intitule par-devers moi la précision des sentiments . Si vous croyez qu’un sentiment, c’est vague, lisez Jacques Chenevièr

9 la précision des sentiments. Si vous croyez qu’un sentiment , c’est vague, lisez Jacques Chenevière, vous y découvrirez comment jo

10 enis de, « Jacques Chenevière ou la précision des sentiments  », Gazette de Lausanne (supplément littéraire), Lausanne, 22–23 octob

11 in, c’est qu’il fasse converger dans son œuvre le sentiment baudelairien de son époque, la révolte contre elle de tout homme qui

12 Maladère une étrange harmonie entre le climat des sentiments et celui des campagnes désolées où il se développe. Paysages tristes

13 ne plus évoquer que des visions où se condense le sentiment du récit. Dans Le Cœur gros un parc avant l’orage, le rose sombre d’u

14 nd : « Pour faire chier les mômes ! » Ces mauvais sentiments animent aussi, je le crains, certains de ceux qui prétendent n’écrire