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Hitler. C’est une sottise et une mauvaise action,
si
l’on songe que le pasteur Niemöller, vrai descendant de Luther, est e
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fatale et prolongée des bourgeois de divers pays.
Si
nous prétendons défendre le christianisme, agissons d’abord en chréti
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en fait, ce sont exactement les mêmes erreurs. 4.
Si
d’aucuns remontent à Luther, d’autres s’en vont chercher encore plus
4
ce n’est pas ma faute, ni celle des protestants,
si
l’axe Berlin-Rome passe justement par Rome, qui n’est pourtant pas lu
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et d’avoir à les rappeler à l’attention d’esprits
si
distingués. a. Rougemont Denis de, « Erreurs sur l’Allemagne », Ga
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que nous sommes tous atteints. Quelqu’un disait :
si
Paris est détruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville
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la vallée s’emplit d’une ombre froide, et j’étais
si
bien au fond d’une gorge, dans cette rue de briques noircies où circu
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lus proche. Nulle part au monde la vie n’apparaît
si
discrète, si pacifique et séculaire. Ce pays-là n’est qu’amitié des t
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ulle part au monde la vie n’apparaît si discrète,
si
pacifique et séculaire. Ce pays-là n’est qu’amitié des tons et des li
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en Suisse. Et je serais rentré il y a un an déjà
si
les circonstances s’y étaient prêtées. Êtes-vous venu en Suisse direc
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beaucoup d’approbations enthousiastes. Savez-vous
si
les Soviets ont, pu s’emparer du secret de la bombe atomique ? Non, e
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on employer ce mot de civilisation pour un peuple
si
neuf ? Disons que leur conception de la vie est différente. C’est une
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r qui leur plaît, et ils ne font que s’en amuser.
Si
on les compare aux Français, il est indéniable que ces derniers, quoi
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plus « sérieux ». L’Amérique est du reste un pays
si
vaste, si mélangé et si divers, que tout y est toujours vrai quelque
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ieux ». L’Amérique est du reste un pays si vaste,
si
mélangé et si divers, que tout y est toujours vrai quelque part. C’es
16
ique est du reste un pays si vaste, si mélangé et
si
divers, que tout y est toujours vrai quelque part. C’est un résumé de
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a planète. On se sent à New York, en particulier,
si
cosmopolite aujourd’hui, comme au centre du monde. Et, ne serait-ce q
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n’en est pas un, mais combine deux absurdités. 1.
Si
l’on admet avec cet avocat que j’ai vraiment agi comme son client, l’
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ique exactement le contraire d’Oltramare à Paris.
Si
Me Duperrier ne sent pas la différence, essayons de l’éclairer par un
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lairer par une fable. Supposons que j’aie tant et
si
bien parlé à la radio américaine, qu’à la fin les nazis ont occupé la
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où leur auteur est né, où il a grandi ? J’en vois
si
peu, et je trouve en revanche tant d’exemples éclatants des bienfaits
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l ou à James Joyce — que j’en viens à me demander
si
la condition normale du « bon écrivain » (j’entends : la plus fréquen
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milieu et de sa province natale. Même et surtout
si
l’on doit tirer de ce milieu, de cette province, le meilleur de son i
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distinguent la réponse de M. Denis de Rougemont.
Si
ce Suisse très cosmopolite reconnaît, à son tour, que notre pays manq
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ses et les Américains vont lui régler son compte,
si
ce n’est pas déjà fait. Et vous avez presque raison. Mais dans ce pre
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change tout. Mon argument sera simple, le voici :
Si
notre Europe n’existait plus, si c’était vrai, vous ne pourriez plus
27
mple, le voici : Si notre Europe n’existait plus,
si
c’était vrai, vous ne pourriez plus même le dire, et cela pour des ra
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la désillusion. Elle est très répandue, elle est
si
fascinante qu’elle risque bien de provoquer, comme tout vertige, la c
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s de nous forcer à l’union ou de nous abandonner,
si
nous n’arrivons pas, d’ici deux ans, à nous fédérer librement. Il ne
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l nous reste deux ans. Nous perdrons ces deux ans
si
l’Europe dès maintenant se croit perdue, si elle cède au vertige, à l
31
x ans si l’Europe dès maintenant se croit perdue,
si
elle cède au vertige, à l’illusion d’urne impuissance qui alors seule
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de la diversité avec la sauvegarde organisée, et
si
possible officielle, de nos particularismes les plus désuets. Il voud
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rer la voie d’un avenir authentiquement européen.
Si
elle s’y refuse, qui va plaider sa cause ? Une union faite sans nous
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, toute nuance. Tous portent le même accoutrement
si
commode et si négligé, que la jeunesse européenne semble avoir adopté
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. Tous portent le même accoutrement si commode et
si
négligé, que la jeunesse européenne semble avoir adopté depuis quinze
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e » et dont plusieurs se demandent, m’a-t-on dit,
si
l’URSS ne détient pas les clés de l’avenir du monde uni, je leur rapp
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l, de la sociologie plutôt que de la littérature.
Si
l’on est né à Tubingue, à Eboli, à Collombay ou à Stratford sur l’Avo
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ents adéquats pour exprimer ces thèmes rebattus !
Si
cela ne donne plus rien, n’est-ce pas le signe qu’il serait temps de
39
’Europe est épuisée ? Absolument pas. D’ailleurs,
si
elle l’était, qui reprendrait le flambeau ? Les autres civilisations,
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ntiel, que prendre ce que nous leur donnons. Mais
si
nos mythes sont morts… Ils sommeillent. Ils attendent que nous soyons
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me, rappelez-vous les prévisions des démographes.
Si
l’humanité se développe au même rythme, en 2260 il y aura 700 milliar
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x que nous a légués l’Antiquité proche-orientale,
si
étroitement mêlée aux origines helléniques et bibliques de la culture
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déo-chrétienne a conçu la notion de genre humain,
si
longtemps étrangère, voire répugnante, à l’Asie brahmanique ou chinoi
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aujourd’hui. Et Louis Armand me disait un jour :
si
vous et moi, dans nos années d’études, il y a 30 à 35 ans, avions app
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parle le physicien, et a fortiori ne saurait pas
si
le rapport entre les conclusions du physicien et la dogmatique de l’É
46
’ajoute que le physicien ne saurait pas davantage
si
sa démarche est conforme ou non à la théologie, et fort probablement
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ie et l’État, plus que jamais, ont besoin d’elle.
Si
elle est devenue trop petite pour ses tâches immédiates, qu’on l’agra
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lle en vue, veut-elle former ? Je crains bien que
si
l’on tentait de le déduire d’une observation attentive de nos univers
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question, et c’est pourquoi sans doute on la pose
si
rarement. Notre enseignement vise-t-il à former des personnes réelles
50
eur étude le meilleur de son temps de méditation.
Si
les Européens voulaient vraiment répondre aux Asiatiques, aux Africai
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lité des expériences tentées dans cette intention
si
louable ont échoué, et les raisons de ces échecs répétés me paraissen
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iculières, d’autant plus nous connaissons Dieu. »
Si
je la transpose au domaine moins sublime que j’essaie aujourd’hui d’e
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solution concrète que nous pourrions préconiser,
si
nous voulons tenter de faire face au problème posé par l’accroissemen
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-il, les rapports d’experts qui vous sont soumis.
Si
l’on garde à l’esprit la règle d’or de la culture européenne, qui n’e
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u maximum 20 personnes, à l’optimum une douzaine.
Si
quelqu’un désire absolument donner une conférence, le soir, c’est à s
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je serais heureux de pouvoir étudier et discuter,
si
j’étais jugé digne de participer aux activités de la commune. 1. Les
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ntes, on les imaginera sans peine. L’introduction
si
désirable dans nos mœurs universitaires d’une année sabbatique de typ
58
iction qui a tendu l’arc d’une existence poétique
si
hautement exemplaire à tant d’égards, c’est qu’il voulait tout à la f
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Presque rien n’eût été enregistré par l’objectif (
si
bien nommé) et pourtant quelque chose s’est passé puisque en demeure
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N’importe quoi qui soit utile. Et dès aujourd’hui
si
vous voulez. » C’était Romain Rolland. Il venait de publier Au-dessus
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mon gré, par excès de pudeur peut-être, ou comme
si
l’auteur redoutait de s’exposer trop longtemps aux rayons du souvenir
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s de l’écriture qui anime ainsi tant d’images, et
si
variées ? Allons les rechercher dans les enfances et surtout les adol
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itule par-devers moi la précision des sentiments.
Si
vous croyez qu’un sentiment, c’est vague, lisez Jacques Chenevière, v
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litaire du terme. Mon sens était plutôt poétique,
si
j’ose dire, moral, philosophique et religieux. De l’intime à l’ultime
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e nouveau que la révolte obscurément postule, car
si
elle le concevait elle le susciterait au lieu de simplement « contest
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gne. Le problème n° 1 de l’Europe, c’est l’union.
Si
l’union de l’Europe ne se fait pas, nous serons colonisés par le doll
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tions ; ceux-ci peu à peu tomberont en désuétude.
Si
les problèmes mondiaux dépendent en grande partie de la solution des
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ention. Il était à lui seul notre air de parenté,
si
différents ou opposés que nous fussions. C’est le seul directeur de r
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ne dis rien d’Alerte : la poésie lui semble chose
si
grave qu’il a pris le parti de se taire. Je ne sais s’il est vrai que
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assion. Cette fureur admirable, dont la brutalité
si
longtemps désirée délivre le héros d’un passé obsédant, d’une trop pl
71
ou trois autres carrières qu’il a connues avec de
si
constants succès pour ceux qui savent — dans l’armée, la diplomatie,
72
oujours, fait presque toujours de la littérature,
si
bonne qu’elle soit. Mais l’aventure militaire de Barbey est singulièr
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e pouvait-on refuser à quelqu’un que l’on sentait
si
naturellement prêt à s’oublier lui-même ? C’est sans nul doute à la t
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t pense toujours : « Quelle est ma raison d’être,
si
je suis comme tout le monde ? » À ses yeux — et cela peut servir à le
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use. Le goût de différer, si peu que ce soit, est
si
cher aux Européens qu’il les porte à exagérer d’une manière tout à fa
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et c’est là-dessus qu’il faut bâtir notre union,
si
l’on veut qu’elle mérite le nom d’Europe. Si l’on me demande maintena
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ion, si l’on veut qu’elle mérite le nom d’Europe.
Si
l’on me demande maintenant comment on peut traduire en termes de stru
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politiques cette unité de culture non unitaire et
si
hautement diversifiée, je répondrai que la solution se trouve dans le
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ies. Car ces autonomies seront perdues une à une,
si
nous refusons l’union qui ferait leur force ; mais en retour, cette u
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çon plus précise, en Europe, il nous faut décider
si
notre union aura pour but la puissance collective ou la liberté des p
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ent celui des moyens adéquats ; mais à l’inverse,
si
vous vous trompez de moyens, ils risquent bien de vous conduire où vo
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ouliez pas aller… Voici donc le dilemme présent :
Si
nous attribuons pour finalité à la Cité européenne de demain la puiss
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ne saurait être exclue pour autant. Au contraire,
si
nous donnons pour finalité à la Cité européenne la liberté, c’est-à-d
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pter sur lui. Je ne sais, n’étant pas économiste,
si
nos États-nations délimités pour la plupart au xixe et au xxe siècl
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des entités économiques intelligibles. Je ne sais
si
les problèmes profonds que pose leur balance commerciale (laquelle ne
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sondages d’opinion montrent qu’on vous suivrait,
si
vous osiez marcher. Je propose la convocation d’une conférence du dés
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de nos activités communautaires et personnelles.
Si
sérieux que soient les problèmes de prix du lait, du blé ou du vin, i
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t fédérées du continent peut en offrir le modèle.
Si
l’on me dit maintenant que c’est une utopie que de vouloir dépasser l
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— La notion d’« helvéticité » existe-t-elle ? Et
si
oui, dans le cas particulier qui nous préoccupe, cette « helvéticité
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ndre deux sens bien différents de « s’ouvrir à… »
Si
s’ouvrir à l’Europe signifie supprimer les frontières économiques et
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», il y a seulement une économie européenne. Mais
si
« s’ouvrir à l’Europe » signifie seulement importer autant de travail
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nous respirons, et à la longue nos sensibilités.
Si
notre industrie suisse refuse de calculer le prix humain de son essor
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giques et hygiéniques, écologiques et politiques,
si
elle n’établit pas ses plans en conséquence et ne s’engage pas à les
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des frères humains ») serait-elle encore invoquée
si
la présence des travailleurs étrangers nous coûtait plus qu’elle ne r
95
re nouvelle, qui est la région. Mais dans la page
si
belle qui règle ses obsèques, c’est Tristan qui revient dans sa plein
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ause finale qui agit comme vraie motivation. Mais
si
je n’avais pas écrit d’abord sans cause, je ne saurais pas écrire pou
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s cause, je ne saurais pas écrire pour une cause.
Si
l’on n’a pas d’abord écrit pour rien, pour le plaisir, à cause de la
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op intimes. ⁂ Arrivé aux deux tiers de ma course (
si
je l’estime à l’envergure de mes projets), je me vois deux raisons d’
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elle soit généralisable. » Réponse plutôt comique
si
l’on s’avise que le fédéralisme n’a jamais été ni pu être une « solut
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i, qui ne porte que trois signatures. Mais alors,
si
nous fêtons aujourd’hui le 680e anniversaire de la Confédération helv
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s par le hasard des armes. Mais alors, me dit-on,
si
la fédération s’étend de proche en proche à l’Europe tout entière, la
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ont un jour destinés à assurer la paix en Europe…
Si
cet idéal de l’avenir se réalise, la nationalité suisse de caractère
103
e communauté : celle des gardiens de l’idée mère.
Si
nous le désirons vraiment, si nous le voulons. C’est ce qu’il reste à
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ens de l’idée mère. Si nous le désirons vraiment,
si
nous le voulons. C’est ce qu’il reste à savoir, et c’est ce qui nous
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i nous restons ensemble. Personne ne peut prédire
si
, à bulletin secret, en connaissance de cause et en majorité nous choi
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nt tout me faisait craindre qu’il fût de nature —
si
plus tôt exprimé, sans précaution — à desservir la bonne réputation d
107
ous les sens… Cette idée de l’Oural-frontière est
si
absurde, et si répandue, que j’ai mis deux de mes étudiants sur le pr
108
ette idée de l’Oural-frontière est si absurde, et
si
répandue, que j’ai mis deux de mes étudiants sur le problème. Ils ont
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sur moi-même à l’Université : je ne creuse jamais
si
bien un problème que quand je dois le présenter à mes étudiants. «
110
bre dynamique. Ainsi pour le fédéralisme, qui est
si
mal compris, même en Suisse. Il s’agit de mettre en relation des élém
111
s, les efforts individuels ne suffisent pas. Mais
si
le problème est attaqué par les deux bouts à la fois, alors peut-être
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ieux. Mais vous ne le sauverez pas sans héroïsme.
Si
Lavaux doit faire son salut, ce sera par la grâce de quelques fous as
113
’humanité entière serait apparemment sans espoir,
si
la culture élaborée par notre Europe n’avait pas découvert une fois d
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plus loin qu’eux. Je pense que ces déclarations,
si
je les répétais aujourd’hui, comme le font la plupart des survivants