1 nt de la foule de l’Arc aux Chevaux de Marly, les siècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le visage de cette capitale

2 orces de division qui ont miné l’Europe depuis un siècle , et qui ont risqué de la faire périr à deux reprises en 1914 et en 19

3 que dont les Européens ont fait preuve depuis des siècles , résulte de nos diversités locales, régionales, idéologiques. Tout sy

4 uverains ne répondrait nullement aux exigences du siècle . Seule une fédération, selon la formule suisse, assurerait le degré d

5 ie, non plus (comme on le faisait il y a quelques siècles ) pour répondre à des besoins certains et à des nécessités limitées de

6 ion puis à la suppression — mais après combien de siècles — de l’esclavage. Le droit des gens valable pour toute race est une c

7 Temps, aux discussions qui durent déjà depuis un siècle sur le principe de Carnot et Clausius sur la dégradation de l’énergie

8 ’Université ? À sa naissance, aux xiie et xiiie siècles , c’est une commune autonome, qui assure sa propre police et s’adminis

9 nt seuls, à eux deux, cette NRF qui a marqué le siècle littéraire comme nulle autre revue, nulle autre école. De 1925 à 1940

10 communauté de plus en plus complexe au cours des siècles , des valeurs bien souvent antinomiques, provenant d’origines multiple

11 , et les étrangers sont venus chez eux depuis des siècles en plus grand nombre relatif que partout ailleurs, touristes, convale

12 Il m’écrivait en 1962 à propos de mes Vingt-huit siècles d’Europe  : En réunissant et replaçant en leur contexte tous ces écr

13 e tous ces écrits à travers lesquels, au long des siècles , s’est manifestée l’idée d’Europe, ce sont les cheminements de la con

14 Zähringen et les Kibourg sont éteints depuis des siècles , les Habsbourg émigrés — ni l’anniversaire de la fondation d’un État

15 la Suisse. Écoutons plutôt un grand Zurichois du siècle passé, le juriste J.-C. Bluntschli, qui écrivait en 1875 : La Suisse