1 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
1 limat que je connais. Mais il y a plus. Il y a le sol qui est alpestre dans sa profondeur. À Central Park, au milieu des pr
2 oraux de la cité de Manhattan s’expliquent par ce sol et ce climat. Entre la Prairie proche et l’Océan, ce lieu d’extrême c
2 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
3 udain je vis à mes pieds, tracé à la craie sur le sol , un grand cercle entourant une inscription en lettres capitales bien
3 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
4 re économie n’est pas tombée du ciel ni sortie du sol , et qu’elle ne tire pas son origine et sa vitalité de notre nature, m
4 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’écrivain et l’événement (7-8 septembre 1968)
5 sons m’établissant avec honneur, j’augure bien du sol où j’ai fondé ma loi. » (Saint-John Perse.) Paroles de poète, paroles
5 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
6 ini par le sort des guerres et aussitôt baptisé «  sol sacré de la patrie », des réalités absolument hétérogènes, qui n’ont
6 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une réflexion sur le mode de vie plutôt que sur le niveau de vie (2 juin 1970)
7 II. Quant au danger que la présence sur notre sol d’un étranger contre cinq ou six Suisses représenterait pour notre mo
8 laissent peu de traces de leur passage sur notre sol , dans nos cités et dans nos mœurs. Je n’en dirais pas autant d’une in
9 patrie ». Les soldats gardent aux frontières un «  sol sacré » que les usines et les traxs derrière leur dos profanent, défo