1 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
1 sible, en plus d’un cas, il pousse à préférer des solutions médiocres, mais « bien de chez nous », aux avantages que pourrait pro
2 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
2 nous intéresse ici, celui de l’Université ? Trois solutions me paraissent concevables. a) La première, souvent proposée, consiste
3 u prix de son ambition maîtresse. b) Une deuxième solution concevable consisterait à réfréner la spécialisation. Je la tiens éga
4 futurs enseignants. Puisqu’on ne peut chercher de solution en arrière, il faut donc la chercher en avant : accepter le mouvement
5 cice de sa vocation, voilà sans doute le genre de solution concrète que nous pourrions préconiser, si nous voulons tenter de fai
6 iversitaires, je n’aurais guère à proposer qu’une solution de bon sens presque simpliste : il me semble que le seul moyen de sau
3 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Vers l’Europe des régions [Entretien]
7 oblèmes mondiaux dépendent en grande partie de la solution des problèmes européens, c’est que l’unité du genre humain est une in
4 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
8 et si hautement diversifiée, je répondrai que la solution se trouve dans les termes mêmes du problème ainsi formulé : car l’uni
5 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Au défi de l’Europe, la Suisse (31 juillet-1er août 1971)
9  : « Le fédéralisme est pour votre pays une bonne solution . Ce qui ne veut pas dire qu’elle soit généralisable. » Réponse plutôt
10 ue le fédéralisme n’a jamais été ni pu être une «  solution  » aux problèmes de la Suisse, pour la simple raison qu’il l’a faite e