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sible, en plus d’un cas, il pousse à préférer des
solutions
médiocres, mais « bien de chez nous », aux avantages que pourrait pro
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nous intéresse ici, celui de l’Université ? Trois
solutions
me paraissent concevables. a) La première, souvent proposée, consiste
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u prix de son ambition maîtresse. b) Une deuxième
solution
concevable consisterait à réfréner la spécialisation. Je la tiens éga
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futurs enseignants. Puisqu’on ne peut chercher de
solution
en arrière, il faut donc la chercher en avant : accepter le mouvement
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cice de sa vocation, voilà sans doute le genre de
solution
concrète que nous pourrions préconiser, si nous voulons tenter de fai
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iversitaires, je n’aurais guère à proposer qu’une
solution
de bon sens presque simpliste : il me semble que le seul moyen de sau
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oblèmes mondiaux dépendent en grande partie de la
solution
des problèmes européens, c’est que l’unité du genre humain est une in
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et si hautement diversifiée, je répondrai que la
solution
se trouve dans les termes mêmes du problème ainsi formulé : car l’uni
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: « Le fédéralisme est pour votre pays une bonne
solution
. Ce qui ne veut pas dire qu’elle soit généralisable. » Réponse plutôt
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ue le fédéralisme n’a jamais été ni pu être une «
solution
» aux problèmes de la Suisse, pour la simple raison qu’il l’a faite e