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n, le nationalisme, mais aussi le fédéralisme, la
spécialisation
technique, mais aussi la formation humaniste, le matérialisme, mais a
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e la diversité des langues ne serait autre que la
spécialisation
des métiers et par suite des jargons de métier — spécialisation exigé
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des métiers et par suite des jargons de métier —
spécialisation
exigée par les dimensions mêmes d’un projet qui consistait à dépasser
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ère de brillant vulgarisateur scientifique et une
spécialisation
qui lui vaudrait sans doute le prix Nobel, mais au prix de son ambiti
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me solution concevable consisterait à réfréner la
spécialisation
. Je la tiens également pour illusoire. Certes, on peut soutenir que l
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t pour illusoire. Certes, on peut soutenir que la
spécialisation
du savoir, loin de représenter un progrès, n’est littéralement qu’une
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ue tous les gains partiels, additionnés, dus à la
spécialisation
, ne combleront jamais, et toujours moins. C’est gagner le monde par p
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u prix de son âme. Il n’en reste pas moins que la
spécialisation
dans l’Université ne peut aller qu’en croissant, sous la double press
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c la chercher en avant : accepter le mouvement de
spécialisation
, mais le pousser jusqu’à ce point où l’étude la plus exigeante d’une
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problème posé par l’accroissement babélique de la
spécialisation
. Ces prix Nobel Sur le problème de l’explosion des effectifs un