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es socialistes le toléraient fort bien ; et qu’un
très
grand nombre d’anciens chefs communistes avaient revêtu quelque grade
2
Le vent fou, l’air ozone, et la lumière éclatant
très
haut dans le ciel sur des parois violemment découpées, c’est un clima
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ais constaté que les conférences n’étaient pas un
très
bon moyen de propagande. Les Américains en écoutent énormément, et le
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font enseigner aux écoliers. C’est d’ailleurs une
très
belle race qui est en train de se former, et de gens extrêmement gent
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s sommes un peu « névrosés ». Ils sont évidemment
très
simplistes dans ce qu’ils impriment, et manquent d’esprit critique. Q
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est la standardisation de la pensée qui me paraît
très
dangereuse. De la pensée et des jugements moraux : par la synchronisa
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autres provinces françaises : milieu intellectuel
très
dense, originalité religieuse, proximité du monde germanique. Mais no
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la réponse de M. Denis de Rougemont. Si ce Suisse
très
cosmopolite reconnaît, à son tour, que notre pays manque de ce qui es
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st l’illusion causée par la désillusion. Elle est
très
répandue, elle est si fascinante qu’elle risque bien de provoquer, co
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ays vient de jeter tous les autres dans une crise
très
dangereuse, démontrant ainsi, une fois de plus, que les nations de l’
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r, à « vitupérer » l’esprit de clocher, dont j’ai
très
peu parlé, ou le matérialisme, mentionné dans une seule phrase, mais
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rdres, vient ajouter à la nature. L’Europe, c’est
très
peu de chose plus une culture. Quand on s’imagine que l’Europe, dont
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raordinaires diversités qu’ils juxtaposent sur un
très
petit territoire. Quand ces diversités tournent en divisions, l’unité
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a Suisse se trouve défendre en fait une politique
très
légitime, mais liée au passé du continent, aux rivalités nationales q
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on de s’exprimer en levant un doigt discret ou un
très
long fume-cigarette. Elles parlent posément avec un sérieux et une as
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sant les panneaux d’annonces. Soudain, mon nom en
très
grosses lettres sur une affiche. « À 3 heures, dans la Salle de Bal,
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s for Democratic Action, ADA. » On m’avait parlé,
très
vaguement, d’une éventuelle discussion avec un groupe de professeurs,
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lé surtout de la guerre froide et de la Bombe, et
très
peu des valeurs occidentales. Je vois donc ce qui me reste à faire. I
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chant que mon auditoire est composé d’étudiants «
très
à gauche » et dont plusieurs se demandent, m’a-t-on dit, si l’URSS ne
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San Francisco, 9000 étudiants seulement, mais un
très
haut niveau intellectuel, la Fondation Ford a créé un Centre d’études
22
s centaines de responsables de la vie américaine,
très
connus, très riches, ou puissants dans l’administration ou les affair
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e responsables de la vie américaine, très connus,
très
riches, ou puissants dans l’administration ou les affaires. u. Roug
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stions sur Marx et l’Europe, dans des universités
très
différentes des nôtres. Elles ressemblent à des couvents laïques, à d
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de dimensions spirituelles et physiques, les unes
très
vastes et presque universelles — confession, langue française, cultur
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urd’hui, les mythes s’évanouissent. Nous devenons
très
« raisonnables ». Les arts mêmes ne veulent plus exprimer la part ins
27
Justement ! Et c’est ce qui prépare le réveil de
très
vieux instincts, de très vieux mythes. Vous savez, l’être humain n’a
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qui prépare le réveil de très vieux instincts, de
très
vieux mythes. Vous savez, l’être humain n’a pas changé dans ses profo
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sent, il faut bien voir que cela veut dire aussi,
très
concrètement, qu’il n’y a plus d’Université aux deux sens primitifs d
30
ur ce qu’il nous voit faire, il semblerait que la
très
grande majorité des Européens trouve que cela peut fort bien continue
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hérence organique, point de structure osseuse, et
très
peu d’articulations… Au vrai, il est devenu presque impossible de rép
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autres disciplines, parfois connexes mais souvent
très
distantes, ou plus vastes et plus englobantes. Dans bien des cas célè
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venir, intégré, le seul possible. L’Europe, c’est
très
peu de chose plus une culture. Quatre pour cent des terres du globe m
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supérieurs des disciplines les plus diverses à un
très
haut niveau de précision. Mais on peut craindre que le langage mathém
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de Carl Burckhardt. C’est qu’il est l’un de ceux,
très
rares, dont la personne, le style, la formule créatrice résultent et
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années de sa vie, il y revenait souvent, voir sa
très
vieille mère et travailler dans l’atelier qui avait été celui de son
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es et semées de rochers, et tout en haut les futs
très
effilés du Piz Duan, des pics de la Sciora. Volcaniques ? Oui, bien s
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ec tous les snobismes à l’affût.) Il se plaignit,
très
gentiment, de ce que durant nos années parisiennes, nous n’ayons pu,
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is, il se contentait d’un ou deux coups d’épingle
très
courtois, ou d’une épithète gouailleuse, et le disciple flatté hier e
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déliées mais fort précises, car elles nous disent
très
bien de quoi parle ce livre4 mais aussi comment il en parle. Et c’est
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Comme la plupart des écrivains de notre pays — et
très
Suisse en cela du moins — Jacques Chenevière n’est pas « seulement »
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t en ce recueil, va devenir par la grâce d’un art
très
sûr un peu de la mémoire de chaque lecteur. Je sais bien les images q
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dés par les Italiens en Éthiopie. Visite au Duce,
très
cambré. Max Huber fait son exposé. Mussolini répond, Chenevière l’obs
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rdre nouveau, nous nous attachions à une doctrine
très
rigoureuse de la personne qui débouchait sur l’idée de la fédération
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iste un filon de romantisme allemand qui nous est
très
proche et, chose curieuse, la langue ne constitue pas un barrage. J’a
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e Weil, est loin de la vie quotidienne. » Je suis
très
sensible aux particularités d’un pays, d’une région, qu’il s’agisse d
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siècle peuvent être rangés dans cette catégorie
très
vaste, dont la limite inférieure serait symbolisée par le nom de Fran
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ouver surréaliste, eh bien, non, c’est décidément
très
ennuyeux… » (Son humour bref était sans doute aussi une façon de coup
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se, larges épaules, grande tête rectangulaire aux
très
grands yeux6. Mais c’est une voix étrangement légère et gaie, réchauf
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sse.7 On devrait bien republier ces deux romans
très
courts, dont l’écho se prolonge dans ma mémoire. C’est moins la suite
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à s’oublier lui-même ? C’est sans nul doute à la
très
amicale et délicate insistance de Berne que je dois d’avoir écrit mes
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riées à l’infini, mais dont la plus fréquente, de
très
loin, est le couple d’antinomies inséparables : autorité et liberté,
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serait capable sans nul doute de créer une Europe
très
forte, mais qui serait très peu européenne. Sans compter qu’un super-
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e de créer une Europe très forte, mais qui serait
très
peu européenne. Sans compter qu’un super-État-nation ne pourrait être
55
tion qu’a soulevée M. James Schwarzenbach dépasse
très
largement tout ce qui peut résulter d’un refus ou d’une acceptation d
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. Elle n’est rien qu’un régime d’union. Dans leur
très
grande majorité — 98 % exactement — les six millions de Suisses d’auj
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ou qu’un Grison romantsch, avec lesquels je puis
très
bien n’avoir rien en commun que cette adhésion même. Telle étant la r
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’économie et les traditions historiques — on voit
très
mal ce qui empêcherait de généraliser cette formule à toute l’Europe.
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semblent s’adresser surtout à un système scolaire
très
centralisé, comme le système français. Conviennent-elles vraiment à l
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ur l’écologie, où la perception des enfants, déjà
très
jeunes, est immédiate : les frontières n’ont rien à voir avec les loi
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coupe des chefs de gangs… J’en ai vu des exemples
très
proches : aux États-Unis. Plus d’autorité du maître Il se forme spont
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re numéro du 13 juin, M. Ph. Barraud rend compte,
très
largement, d’une assemblée générale de la Compagnie vaudoise d’électr