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s douce et plus fière qu’aucune autre portait les
traces
pacifiées. N’importe quel badaud, mais pas un conquérant. La confront
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t sans répit leur ruban de béton, semblables à la
trace
d’un grand fer à repasser au travers des savanes, des cultures et des
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t passé puisque en demeure dans le souvenir cette
trace
toujours vive, cette vision. Je rappellerai donc quelques scènes plus
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ols, Italiens, Turcs et Portugais laissent peu de
traces
de leur passage sur notre sol, dans nos cités et dans nos mœurs. Je n