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s à l’écart, couvrant d’imprécations la folie des
travailleurs
et les tournant en dérision. Ainsi donc, l’origine de la diversité d
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e abandonnée, elle attire une foule croissante de
travailleurs
et de curieux. L’industrie et l’État, plus que jamais, ont besoin d’e
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térielle dépend surtout de l’industrie, enfin les
travailleurs
étrangers, dont les salaires dépendent de ce qui précède. De quoi se
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lle et culturelle malgré la libre circulation des
travailleurs
intellectuels et manuels ? — La notion d’« helvéticité » existe-t-ell
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uvrir à l’Europe, pourquoi nous fermer devant les
travailleurs
étrangers ? » C’est confondre deux sens bien différents de « s’ouvrir
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e pourrait « résister » que grâce à l’appoint des
travailleurs
étrangers, cet argument se détruit lui-même : car dans une Europe int
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l’Europe » signifie seulement importer autant de
travailleurs
étrangers qu’il en faut pour que nos exportations continuent à croîtr
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mblée nationale. On constate au contraire que les
travailleurs
ne se déplacent en général que s’ils y sont fortement incités, s’ils
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») serait-elle encore invoquée si la présence des
travailleurs
étrangers nous coûtait plus qu’elle ne rapporte ? — La pire menace co
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numéro spécial annexé à cette édition, sur « Les
travailleurs
étrangers en Suisse ». Il est précédé du chapeau suivant : « Invité à