1 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
1 s à l’écart, couvrant d’imprécations la folie des travailleurs et les tournant en dérision. Ainsi donc, l’origine de la diversité d
2 e abandonnée, elle attire une foule croissante de travailleurs et de curieux. L’industrie et l’État, plus que jamais, ont besoin d’e
2 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une réflexion sur le mode de vie plutôt que sur le niveau de vie (2 juin 1970)
3 térielle dépend surtout de l’industrie, enfin les travailleurs étrangers, dont les salaires dépendent de ce qui précède. De quoi se
4 lle et culturelle malgré la libre circulation des travailleurs intellectuels et manuels ? — La notion d’« helvéticité » existe-t-ell
5 uvrir à l’Europe, pourquoi nous fermer devant les travailleurs étrangers ? » C’est confondre deux sens bien différents de « s’ouvrir
6 e pourrait « résister » que grâce à l’appoint des travailleurs étrangers, cet argument se détruit lui-même : car dans une Europe int
7 l’Europe » signifie seulement importer autant de travailleurs étrangers qu’il en faut pour que nos exportations continuent à croîtr
8 mblée nationale. On constate au contraire que les travailleurs ne se déplacent en général que s’ils y sont fortement incités, s’ils
9 ») serait-elle encore invoquée si la présence des travailleurs étrangers nous coûtait plus qu’elle ne rapporte ? — La pire menace co
10 numéro spécial annexé à cette édition, sur « Les travailleurs étrangers en Suisse ». Il est précédé du chapeau suivant : « Invité à