1
us massifs sur l’hitlérisme et sur ses causes. On
voudrait
rappeler qu’en telle matière, tout jugement massif manque de sérieux,
2
gique de ce conquérant victorieux : Tout ce qu’il
veut
saisir se change à son approche — Midas de l’ère prolétarienne — en f
3
érique où il la retrouvera cet automne. Il a bien
voulu
nous accorder la primeur d’une interview, ce dont nous le remercions
4
uisse, sur la politique. Soit. Mais un avocat qui
veut
s’en tenir à la seule ressemblance des mots tombe dans le calembour j
5
bien plus, il y a le ressort de notre action. Je
voudrais
vous montrer que ce presque est une réalité, et qui change tout. Mon
6
ion que les Russes nous imposeraient ! L’Amérique
veut
l’Europe unie, parce qu’elle a besoin de nous en tant qu’Européens, a
7
vous invite à Lausanne en tant que pessimiste. Je
voudrais
que vous adhériez à ma doctrine du pessimisme actif. Un dernier mot s
8
ser la question dans son ampleur, à tous. Il faut
vouloir
maintenant la vraie fédération, dans sa totalité, non par pièces déta
9
otre photo me rappelle que je m’y trouvais aussi…
Veuillez
croire, Monsieur le rédacteur en chef, à mes sentiments bien cordiaux
10
elle, de nos particularismes les plus désuets. Il
voudrait
que chacune de nos cités se suffise à elle-même dans tous les domaine
11
sans l’ombre d’une obligation — je verrai qui je
veux
ou personne s’il me plaît, ce que j’ai envie de voir ou rien, pendant
12
voir des maisons, cabanes, pavillons, ce que vous
voulez
, à deux heures de New York par avion, ou à quatre ou cinq heures par
13
ne 1961, dans le journal de voyage dont il a bien
voulu
détacher quelques pages à notre intention. L’Amérique, c’est le vent,
14
ationalité adéquate », le jeune Suisse romand qui
veut
écrire n’aurait-il pas besoin, tout simplement, de ce qu’on appelle e
15
ales, locales ou familiales, le Suisse romand qui
veut
écrire n’a qu’à jouer ses atouts et bien savoir sa langue. Cela donne
16
ussi, qui vous retient ? Écoutez Nietzsche : « Je
veux
que tu me dises ta pensée maîtresse, et non que tu t’es échappé d’un
17
que”, dit le père de la Relativité universelle. «
Voulez
-vous passer la soirée chez moi ? » Un feu pétillait dans le salon de
18
devenons très « raisonnables ». Les arts mêmes ne
veulent
plus exprimer la part instinctive de l’homme, ce que j’appelle son an
19
refusent de donner forme à l’irrationnel, ils ne
veulent
plus être poètes, ils calculent, ils cherchent de façon purement inte
20
os universités. Tout le monde sait ici de quoi je
veux
parler : nous assistons en fait à une double explosion au sein des in
21
occidentale ? Quel type d’homme a-t-elle en vue,
veut
-elle former ? Je crains bien que si l’on tentait de le déduire d’une
22
leur de son temps de méditation. Si les Européens
voulaient
vraiment répondre aux Asiatiques, aux Africains, ou aux Arabes, qui l
23
n concrète que nous pourrions préconiser, si nous
voulons
tenter de faire face au problème posé par l’accroissement babélique d
24
peu religieux qu’il le dénigrait sans relâche. Il
voulait
un rituel, des mystères, une adoration fascinée, une rébellion furieu
25
hautement exemplaire à tant d’égards, c’est qu’il
voulait
tout à la fois changer la vie par une sédition passionnelle (« la bea
26
devenir, non sans mélancolie, une sagesse à peine
voulue
… Furtifs retours : un visage, les parfums d’une maison rustique ; une
27
x ou trois livres mêlés, peut-être quatre, et qui
voudrait
s’en plaindre ? (C’eût été bien mal vu des professeurs dans ma jeunes
28
e quoi qui soit utile. Et dès aujourd’hui si vous
voulez
. » C’était Romain Rolland. Il venait de publier Au-dessus de la Mêlée
29
sme et de la démocratie, pour des jeunes gens qui
voulaient
faire la révolution, n’était pas nette. Nous refusions aussi bien la
30
, avec sa triade thèse, antithèse, synthèse, nous
voulions
laisser les choses dans leur état de tension. Quant à Esprit, son pre
31
’étais relié aux trois mouvements, n’ayant jamais
voulu
être l’homme d’une seule secte. Peut-être adoptais-je, sans m’en dout
32
leurs débouchés sur la connaissance. 6. Celui qui
veut
apprendre un métier pour en vivre n’a que faire de la contestation. E
33
raire du nationalisme cantonal, ne consiste pas à
vouloir
tout partout et à tout prix, mais à répartir les activités selon leur
34
oque, la révolte contre elle de tout homme qui se
veut
tel, et l’annonce admirable d’un monde équilibré. ak. Rougemont D
35
ique. Cette situation tient au fait que les États
veulent
garder leur souveraineté absolue, devenant ainsi eux-mêmes l’obstacle
36
n’ose pas toujours espérer de la philosophie : il
veut
connaître ce que peut l’homme. Et Gide, ce qu’il est. Il suffirait à
37
t là-dessus qu’il faut bâtir notre union, si l’on
veut
qu’elle mérite le nom d’Europe. Si l’on me demande maintenant comment
38
une nation aux pouvoirs absolus de l’État. C’est
vouloir
faire coïncider sur un même territoire, défini par le sort des guerre
39
endons de notre vie et de la société, ce que nous
voulons
réellement, principalement, et contraints de tirer des plans en consé
40
et contraints de tirer des plans en conséquence.
Voulons
-nous par exemple à tout prix notre niveau de vie, quantitatif — ou pl
41
prix notre niveau de vie, quantitatif — ou plutôt
voulons
-nous sauvegarder un certain mode de vie, qualitatif ? Voulons-nous co
42
sauvegarder un certain mode de vie, qualitatif ?
Voulons
-nous contribuer à tout prix à l’accroissement indéfini du PNB (produi
43
ns, ils risquent bien de vous conduire où vous ne
vouliez
pas aller… Voici donc le dilemme présent : Si nous attribuons pour fi
44
mesure où il est encore réel, inexistant quand on
voudrait
compter sur lui. Je ne sais, n’étant pas économiste, si nos États-nat
45
’on me dit maintenant que c’est une utopie que de
vouloir
dépasser l’État-nation, je réponds que c’est au contraire la grande t
46
terviennent les deux questions que vous avez bien
voulu
me poser : — Dans une Europe fédérée telle que vous la concevez, cha
47
ure : écartant les barons et le Pays légal, il ne
veut
devant sa tombe que la France seule, une fois de plus symbolisée par
48
uait rien. Quand on demande à Zazie pourquoi elle
veut
devenir institutrice, elle répond : « Pour faire chier les mômes ! »
49
juste au-dessous de ce feu rouge sur la remorque,
veuillez
donc lire : J’écris pour vous. az. Rougemont Denis de, « Pourquoi
50
ée mère. Si nous le désirons vraiment, si nous le
voulons
. C’est ce qu’il reste à savoir, et c’est ce qui nous inquiète. S’il n
51
us choisirons de continuer la Suisse. Ceux qui le
voudront
seront alors les vrais Suisses. « Et s’il n’en reste qu’un… », disait
52
des instituteurs. Or rien n’est plus faux : j’en
veux
au système scolaire, dont les instituteurs sont victimes, et qu’ils p
53
nner les esprits des futurs citoyens dans le sens
voulu
par l’État, en inculquant le conformisme et en détruisant l’imaginati
54
e — ou l’adhésion d’une ferveur déconcertante. Je
voudrais
essayer, pour ma part, d’énumérer au sujet de Lavaux quelques faits v
55
monde », à tous ceux qui aiment la beauté, et qui
voudraient
que Lavaux, à jamais, demeure tel qu’un beau jour ils l’ont aimé. Or,