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out à fait étranger au réalisme « tragique » de l’
Évangile
, et qui même, dans certains cas extrêmes, nous tient quitte de la foi
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r sans crainte d’erreur une telle maxime : tout l’
Évangile
la confirme et l’illustre. Or, la force, pour le chrétien, quelle est
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et individu, et du prochain, tel que le définit l’
Évangile
; d’autre part, certaines conséquences politiques de l’erreur individ
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on, où bat le cœur du paradoxe le plus fou, que l’
Évangile
nous dit : « Aimez vos ennemis » ? 6. Je préfère employer le pronom
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exigence de la contemporanéité avec le Christ des
évangiles
? La Dogmatique de Barth nous offre maints exemples de mise au point
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j’eus une idée paradoxale : je proposai de lire l’
Évangile
. Je m’emparai d’une Bible qui se trouvait posée sur le bureau et qui
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urir. Mais saint Jean ne se doutait guère que son
Évangile
serait un jour transformé en pylône émetteur ! » — À quoi l’un des ba
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l homme, de grâce infuse et de radioactivité de l’
Évangile
! Mais vous, avez-vous donc dépassé cette angoisse ? Vraiment, l’avez
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dernier de toute « formulation chrétienne », les
évangiles
et les écrits apostoliques. Mais mon propos est ici simplement de rép
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nt que tel, croit que l’Église est au-dessus de l’
Évangile
, qu’elle a barre sur lui, qu’elle dispose de critères qui ne sont pas
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les conjonctures différentes. (Méditations sur l’
Évangile
, lve jour.) Bossuet ajoute : Vous vous étonnez de ce qu’on sépare
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res tout à fait intéressants pour interpréter les
évangiles
… 27. Méthode dont je crains bien qu’elle ne repose toujours, en fin