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pposait dans un intéressant article de la Revue d’
Allemagne
(oct. 1932), à la conception kierkegaardienne du désespoir. Elle ne d
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en France « pathos » alors que ce mot désigne en
Allemagne
, à peu près, la terminologie propre à un auteur. e. Rougemont Denis
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et 1933)f Au cours d’un article paru en Suisse
allemande
, le professeur O.-E. Strasser déclare que le sonnet publié par Albert
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s panneaux hauts en couleur promenés par les rues
allemandes
et italiennes, et jusque dans les pages illustrées de nos quotidiens.
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raduisibles en notre langue13 ? Alors que toute l’
Allemagne
des Novalis, des Schelling et des Schlegel philosophe ardemment autou
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sa réalité. Lisons ses Réflexions sur le Théâtre
allemand
. Il y décrit un état d’âme tout voisin de la « panique » antique14, m
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st évidente. Mais Constant, comme les romantiques
allemands
, s’il voit bien la question ne va pas jusqu’à l’accepter, et sa répon
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» (Benjamin Constant : Réflexions sur le Théâtre
allemand
). i. Rougemont Denis de, « Précisions sur la mort du grand Pan », H
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’était qu’une locution philosophique « importée d’
Allemagne
», inassimilable pour nos « clairs esprits latins », et qui, d’ailleu
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nne toujours envie de dire des grossièretés, — en
allemand
, par-dessus le marché. Or, le ton de cette soirée avait été jusqu’à c