1 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
1 ir. Entendons maintenant cette phrase capitale de Kierkegaard  : « L’Éthique ne commence pas dans une ignorance qu’il faudrait muer
2 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
2 en nous-mêmes de la thèse et de l’antithèse. Avec Kierkegaard , elle répète que « toute prétention à une unité supérieure qui harmon
3 a plus qu’à compter un, deux, trois, comme le dit Kierkegaard dans La Répétition. Qu’il y ait une virtu dans l’acceptation volontai
4 ilà qui ne peut manquer d’évoquer l’attitude d’un Kierkegaard et par là même de ses descendants directs, les théologiens dialectiqu
5 urait en être tenu pour l’inventeur, pas plus que Kierkegaard , pas plus que Luther et Calvin, pas plus que Paul ou Jérémie. Que cel
3 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
6 ole (mai 1935)k On sait avec quelle insistance Kierkegaard revient, dans toutes ses œuvres proprement religieuses, sur la notion
7 poranéité » avec le Christ. Toute la polémique de Kierkegaard est dirigée contre un certain esprit historique ou historiciste, qui
8 oucher, ni comprendre humainement. Cette thèse de Kierkegaard , sous la forme polémique et non systématique qu’il lui a donnée, peut
9 ins, avec l’exigence de la « contemporanéité » de Kierkegaard . Il a bien pour objet de nous rendre, d’une façon ou d’une autre, « c
10 . Mais ne jouons pas sur le mot pour faire dire à Kierkegaard exactement le contraire de ce qu’il entendait. Car il est évident que
11 théologique des thèses parfois fort équivoques de Kierkegaard . Le plus frappant est peut-être fourni par le passage où Barth traite
12 uces humanistes et romantiques la notion, chère à Kierkegaard , de saut. 18. ou cinématographique ! Voir le film Golgotha. Ou encor
4 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
13 é et alla même jusqu’à citer certaines paroles de Kierkegaard à l’appui de sa thèse : « Kierkegaard, ce prince du paradoxe, comme l
14 paroles de Kierkegaard à l’appui de sa thèse : «  Kierkegaard , ce prince du paradoxe, comme l’appelle si joliment mon ami Monod. »
15 enez-vous de ce que disait et répétait sans cesse Kierkegaard  ? Être chrétien, c’est devenir contemporain de Jésus-Christ dans son