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e Calvin, de Luther, c’est-à-dire de contempteurs
absolus
des mérites humains, pourraient-ils, s’ils prennent au sérieux leur f
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ce qui rend la vie impossible (par ses exigences
absolues
), tandis qu’au contraire la politique est l’art d’accommoder les rela
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er. » Cette absence d’illusions quant à la valeur
absolue
du résultat sinon de l’acte, est en même temps le meilleur ressort de
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être ni conformistes — les ordres de la foi sont
absolus
— ni réformistes, n’ayant rien qui nous assure de l’action continue d
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é supérieure qui harmoniserait les contradictions
absolues
n’est qu’un attentat métaphysique contre l’éthique ». Il s’agit donc
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choix dont parle la théologie dans sa dialectique
absolue
. Il n’y a plus ici d’opération réelle que par la Parole de Dieu : act
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ine quantité de temps et d’histoire, mais l’abîme
absolu
d’une différence de qualité ; il n’y a pas une distance, mais une rup
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pellera constamment la vraie nature, le caractère
absolu
de cette difficulté. La question précise que nous nous poserons sera
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refuse. Christ, dans son temps, est le vis-à-vis
absolu
des apôtres dans leur temps. Et de même, le témoignage des apôtres, l
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émoignage des apôtres, la Bible, est le vis-à-vis
absolu
de l’Église dans notre temps. Il dépend de Dieu seul, et nullement de
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est le Fils de Dieu ? Nous sommes là en pleine et
absolue
certitude ; nous apercevons le sommet d’un gigantesque pylône, d’un p
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nce : la Réforme prêche que le Christ est le chef
absolu
, souverainement adorable, de l’Église qui est son corps ; tandis que
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’affirme que cette opinion commune est un négatif
absolu
des positions fondamentales de la Réforme. Voilà l’opposition réelle,
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revient à consacrer en droit l’arbitraire le plus
absolu
. Pratiquement : un opportunisme qui nous apparaîtra toujours excessiv
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1, devient faux et ne traduit qu’un subjectivisme
absolu
dès qu’on le sépare de l’Écriture, qui nous fournit son critère objec