1
Vérité actuelle aux deux sens de ce mot, qui sont
acte
et présence. Et certes notre activité serait injustifiable si nous t
2
eux des hommes. Ceci n’est rien, en vérité, qu’un
acte
de soumission et d’espérance, car ce n’est pas aux hommes que nous di
3
hrétien lui-même, — s’il n’est pas attesté dans l’
acte
de la foi. Qu’est-ce donc, en effet, que l’effort humain ? Sinon l’ex
4
quant à la valeur absolue du résultat sinon de l’
acte
, est en même temps le meilleur ressort de l’action. La preuve est dan
5
a dialectique du désespoir : le moment décisif, l’
acte
. Elle n’a de sens, pour nous, que parce qu’il y a la foi. c. Rougem
6
ns le cas, et pour soi-même, prouver la foi par l’
acte
qu’elle ordonne. Nous ne sommes pas des guérisseurs, mais des mala
7
e en elles la tension, le ressort nécessaires à l’
acte
créateur. Loin de tenter leur réduction à quelque idéale synthèse, el
8
nnulerait, non sans soulagement, mais bien vers l’
acte
créateur par où la personne accède à une plus dangereuse réalité. Cec
9
a personne se dissout dans un processus qui nie l’
acte
et le risque. Il n’y a plus qu’à compter un, deux, trois, comme le di
10
tant par suite le risque personnel, le choix et l’
acte
, une sorte de « contre-Hegel » radical, voilà qui ne peut manquer d’é
11
paraît à nos yeux s’en rapprocher le plus. ⁂ Cet
acte
dont nous parlions, à quoi se suspend-il en dernière analyse ? Vers q
12
t ces questions, on affirmerait par là même que l’
acte
créateur se crée soi-même et se suffit en soi. Si l’on refusait de po
13
, on supposerait par là même que la doctrine de l’
acte
rend un compte suffisant de l’ensemble du monde. Ce serait dire qu’el
14
, qu’un moraliste, parle de choix, de risque et d’
acte
, ces mots désignent des réalités éthiques qui n’ont rien de commun av
15
réalités éthiques qui n’ont rien de commun avec l’
acte
, le risque et le choix dont parle la théologie dans sa dialectique ab
16
ci d’opération réelle que par la Parole de Dieu :
acte
de la Parole, que l’homme ne peut saisir que dans la foi ; choix de l
17
entre. Elle est le rayonnement dans la durée de l’
acte
instantané qui unit un je et un tu par un lien de responsabilité7. En
18
te à considérer cette communion non plus comme un
acte
, mais comme un état. C’est faire simplement abstraction de la respons
19
un écho humain. C’est en elle enfin que s’opère l’
acte
d’une communion réelle. La personne est un lieu d’héroïsme, et cela s
20
, l’individu social par excellence. Mais dans son
acte
seulement, c’est-à-dire dans l’instant présent, non point dans la dur
21
utonome. 7. Ainsi l’Église : le chrétien, dans l’
acte
de la communion avec le Christ, fonde véritablement l’Église universe
22
e est universelle parce qu’elle s’enracine dans l’
acte
qui confère à tout homme son être véritable, devant Dieu. 8. Le grou
23
it, déjà il s’offre. C’est le je qui est choix. L’
acte
qui me distingue du monde n’est pas autre que cet élan de refus ou de
24
gueil, de l’esprit qui connaît son pouvoir et son
acte
, mesure la grandeur du danger, sait qu’il s’y offre armé, et connaît
25
ence du Verbe divin incarné dans un homme juif, l’
acte
de foi impossible à l’homme, celui que Pierre fit lorsqu’il dit à Jés
26
raient ainsi, sans que nous nous en doutions, à l’
acte
de l’Esprit. Le scandale s’évanouirait, pour faire place à une adhési
27
rcs n’est pas contraire au Saint-Esprit. » 33. L’
acte
de la grâce, l’acte libre et parfait de la libre grâce que Dieu nous
28
ire au Saint-Esprit. » 33. L’acte de la grâce, l’
acte
libre et parfait de la libre grâce que Dieu nous fait ; et non point