1 a position du calvinisme dialectique en face de l’ action humaine. Position, marquons-le tout de suite, intenable in abstracto,

2 le Pardon, c’est la foi. Agissez donc, mais votre action ne sert de rien. L’hérésie pessimiste et l’hérésie optimiste ainsi re

3 ’acte, est en même temps le meilleur ressort de l’ action . La preuve est dans tous les livres d’histoire. Les peuples calvinist

4 s ont développé le capitalisme, symbole même de l’ action dépourvue de fins transcendantes, de l’action optimiste. Ceux donc qu

5 e l’action dépourvue de fins transcendantes, de l’ action optimiste. Ceux donc qui rendent le calvinisme responsable du capital

6 ni réformistes, n’ayant rien qui nous assure de l’ action continue de la foi. Je songe ici à l’armature catholique, qui condamn

7 i n’ont pas de vérité. ⁂ La plus grande liberté d’ action et de révolution est promise à celui que n’empêtre aucun respect du r

8 nt de « consolation » ailleurs qu’en Dieu : notre action baigne dans l’« angoisse de l’espérance »1. 1. Expression qu’Arnaud

9 sion, c’est-à-dire des prétextes à différer toute action « pratique ». Ceci marqué, nous pourrons répondre plus clairement à

10 l n’est plus possible de se défaire au nom de l’«  action  » ou de la « piété du cœur », puisqu’elle prétend précisément les met

11 ements quotidiens que nous pouvons porter sur nos actions , nos doctrines et notre « vie religieuse » ? Il y a la mort, et notre

12 6. Je préfère employer le pronom tu, sujet de son action — plutôt que le toi, plus couramment employé par certains philosophes

13 nt-ils. Que font-ils donc de Ses miracles, et des actions de ses apôtres, celles que j’ai vues et que j’atteste ! Mais voilà… i

14 plu de nous en révéler dans l’Écriture, et par l’ action du Saint-Esprit, grâce auquel l’Écriture nous parle. Serions-nous don