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c’est la foi. Tout au plus pouvons-nous, par des
affirmations
qui troublent notre sécurité, par des questions qui gênent nos habitu
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sation qui met en état de crise l’ensemble de ces
affirmations
et de ces négations, cette éthique et cette actualité, ce refus de to
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n radicale. Mais aussitôt, s’il accepte ce non, l’
affirmation
de son salut paraît : il reconnaît la Vie au travers de sa mort. Si,
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il entre cette justification totale et toutes les
affirmations
orgueilleuses ou modestes de notre vie mortelle ? Il y a l’acceptatio
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u’elle rend parfois inefficaces non seulement des
affirmations
renouvelées du dogme, mais encore les critiques les plus vives des hé
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er rien de « précis », en se rapportant à quelque
affirmation
choisie entre trente-six-mille autres dans l’ouvrage de M. Monod. Vou
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it. » Le dirai-je ? Ce dialogue, ces rires et ces
affirmations
si délibérément tragiques ne firent qu’aviver en moi l’espèce d’angoi
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e dormir ! C’est en tous cas ce que le ton de vos
affirmations
pourrait faire croire. Voilà votre folie à vous : vous proférez des v