1 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
1 utions que nous sommes plus exigeants. Tout idéal atteint se retourne aussitôt contre notre bonheur. Depuis l’auteur de l’Ecclé
2 des voyages. Mais Proust nous persuade qu’on ne s’ atteint jamais. Et les philosophies de l’Occident mettent le comble à cette g
2 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
3 me une réalité d’un autre ordre et que les mots n’ atteignent jamais directement ?… Nous développerons un jour ces thèmes que je me
3 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
4 l’un de l’autre. Et c’est au seul moment où je t’ atteins en toi, où tu m’atteins en moi, que nous devenons deux personnes, et
5 st au seul moment où je t’atteins en toi, où tu m’ atteins en moi, que nous devenons deux personnes, et l’un pour l’autre le pro
4 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
6 r autrui ni pour soi ». Enfin, il précise qu’on y atteint le mieux couché dans un bateau « qui dérive au gré de l’eau ». Image
7 éorise sur le sentiment de la Nature, sans jamais atteindre au pathétique existentiel de la question. Un seul, peut-être, a press
8 Nature une réponse qui dépasse sa question et qui atteint et qui embrasse l’être anxieux de la créature. En cet amour, enfin, l