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bonté pure », du salut par la foi, par l’abandon
aux
mains du Dieu vivant. En face de philosophes qui se moquent des homme
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llement adressé à chacun de nous. Vérité actuelle
aux
deux sens de ce mot, qui sont acte et présence. Et certes notre acti
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tionnaire. Ceci pourra paraître orgueil et vanité
aux
yeux des hommes. Ceci n’est rien, en vérité, qu’un acte de soumission
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te de soumission et d’espérance, car ce n’est pas
aux
hommes que nous disons : nous voici. a. Rougemont Denis de, « Hic
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er d’abord les idoles, menaçantes. Et puis rester
aux
ordres de l’esprit. Nous n’avons pas à prendre d’assurances sur l’ave
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ibles : et tout le reste est affaire d’obéissance
aux
ordres imprévisibles et concrets de la Parole. Point de « synthèse »,
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personne. Bien souvent, parmi nous, on répond mal
aux
questions parce qu’on se borne à répondre à leurs mots, alors qu’il e
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a « pensée chrétienne », et qui voudraient donner
aux
hommes une bonne conscience tout à fait inconcevable ; dénoncer tous
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est pourtant bien claire. Nous préférons demander
aux
hommes ces ordres que l’on ne peut attendre que de Dieu : parce qu’av
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er une expression chère à Karl Barth, se rapporte
aux
réalités dernières. Qu’y a-t-il donc entre ce non dernier et tous nos
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re les conflits sociaux se réduirait probablement
aux
vertus de surdité, de cécité et de mutisme. Par ailleurs, elle pourra
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de l’individualisme. Ramener la question sociale
aux
limites de la personne, c’est constater que la question sociale, en t
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ne réponse ne se pose pas ailleurs que dans le je
aux
prises avec le tu. Ses données me sont extérieures, certes. Mais je n
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uement dans un nous, qu’on oppose alors fièrement
aux
ils des sociologues et des positivistes. Cette opération magistrale p
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leur être n’est plus visible ni concret, échappe
aux
prises de leurs mains. Pour chacun d’eux, le tu es devenu le nous, c’
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ent le groupe. Un lieu parfaitement abstrait. 9.
Aux
individualistes rationalistes, on peut faire remarquer que le nom d’i
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: il n’est pas notre vie. Il n’est qu’un abandon
aux
lois de la poussière. ⁂ Ceci peut définir l’Antiquité : la panique de
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dans ses architectures, l’homme se retrouve seul
aux
prises avec lui-même. Autarchie rationnelle. Il a mauvaise conscienc
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Je garde ma raison. Et, pour le reste, sacrifions
aux
dieux. ⁂ Un panthéisme angoissé, ressort d’une révolte rationnelle co
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se faisait plus clément, qui conduisait un homme
aux
solitudes naturelles, la conscience de l’« étrangeté » d’un tel cas s
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fait des seuls païens de notre époque. Le recours
aux
émotions fortes que la Nature est censée dispenser à toute âme un peu
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manquer d’évoquer aussitôt la réponse de l’Épître
aux
Romains : « Tout l’univers s’adresse à l’homme dans un langage ineffa
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ense de répondre d’une façon précise et autorisée
aux
questions des incroyants ou des catholiques ; mais il se soucie peu d
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auxquelles bien des fidèles tiennent aussi peu qu’
aux
vérités qui les réfutent. D’autres fois, nous avons parlé trop haut,
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nter l’Histoire, de se transporter en imagination
aux
premières années de notre ère, en Judée, de nous remettre tant bien q
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nous « transporter par la pensée » à l’époque et
aux
lieux historiques où la vie de Jésus s’est écoulée. D’autre part, nou
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’il s’agit dans les deux cas — nous ne pensons qu’
aux
19 siècles qui nous séparent de Jésus-homme, et que nous parvenons pl
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ologie moderniste (de Lessing à Fosdick), si cher
aux
historiens, aux psychologues, aux partisans de l’expérience religieus
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e (de Lessing à Fosdick), si cher aux historiens,
aux
psychologues, aux partisans de l’expérience religieuse « sentie et vé
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sdick), si cher aux historiens, aux psychologues,
aux
partisans de l’expérience religieuse « sentie et vécue ». Mais si c’e
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rois temps de la Parole de Dieu. Nous la trouvons
aux
pages 148 à 155 du premier tome (en cours de traduction). Il y a troi
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Jésus-Christ, le temps de celui qui a été annoncé
aux
prophètes et aux apôtres pour qu’ils en témoignent ensuite, — autre e
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temps de celui qui a été annoncé aux prophètes et
aux
apôtres pour qu’ils en témoignent ensuite, — autre est le temps de ce
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Dieu, et qui dépend ici de la distinction propre
aux
temps de la Parole. » Autrement dit, ces trois temps ne sont pas dans
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mporain. Les disciples d’Emmaüs ont beau cheminer
aux
côtés du Christ : ils ne deviennent ses contemporains qu’à l’instant
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de « littérature », une tentative de représenter
aux
yeux des fidèles les choses qu’il annonce. L’important, c’est qu’il s
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rimait si magnifiquement dans une de ses réponses
aux
objections des humanistes : “Christ n’a pas cru pouvoir sauver les ho
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ec vous qu’il faut d’abord l’avoir éprouvée jusqu’
aux
moelles, et que c’est là notre expérience religieuse, proprement dite
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thodoxe que je cherche ? Il est souvent contraire
aux
écrits d’Augustin ou de Thomas d’Aquin25, seuls témoignages qui nous
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s une apparence de précision rigide, bien propice
aux
interprétations, aux distinguos infinis par où le pire subjectivisme,
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écision rigide, bien propice aux interprétations,
aux
distinguos infinis par où le pire subjectivisme, celui de la prudence
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ette foi au seul moyen de salut qui ait été donné
aux
hommes. Il en va de même du purgatoire, de l’analogia entis, de la gr
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la question n’existe pas, ou n’a pas d’importance
aux
yeux des catholiques ? Est-ce qu’ils se la posent parfois ? Est-ce qu
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de Bossuet : « … Le Sauveur a-t-il voulu laisser
aux
hommes à distinguer par leur propre sens ce qui était la substance de
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n’a-t-il pas voulu au contraire leur faire voir [
aux
apôtres] qu’il leur laissait son Église pour être une fidèle interprè
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in Nicaea cum spiritu sancto congregati fuerunt.
Aux
formules de ce premier concile de Nicée, s’ajoutent ensuite celles de
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ez pour qu’on l’écarte ? Ne se pose-t-elle jamais
aux
catholiques ? Pourtant, je les sens inquiets, et c’est pourquoi j’esp
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mas d’Aquin), par exemple. 26. Le plus étonnant,
aux
yeux d’un protestant, c’est peut-être le critère de cohérence dont un
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ment » (Jean 6:55 et 6:59). On n’ose pas demander
aux
catholiques ce qu’ils pensent réellement de cette… raison, car le con
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r ! De même l’article suivant : « Faire la guerre
aux
Turcs n’est pas contraire au Saint-Esprit. » 33. L’acte de la grâce,