1 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
1 temps. Et de même, le témoignage des apôtres, la Bible , est le vis-à-vis absolu de l’Église dans notre temps. Il dépend de D
2 ification19. Quand nous parlons des témoins de la Bible , nous n’avons pas à nous préoccuper outre mesure d’exactitude histori
3 ous avons voulu confronter avec les témoins de la Bible , les « problèmes » — le mot est bien faible — qui se posent au chréti
2 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
4 e proposai de lire l’Évangile. Je m’emparai d’une Bible qui se trouvait posée sur le bureau et qui s’ouvrit d’elle-même à la
3 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
5 e » de la Révélation, la première source étant la Bible (fons revelationis alter est traditio ecclesiastica). Nous la trouvon
6 ppuiera le protestant, avec, pour tout guide, une Bible … ou le témoignage intérieur du Saint-Esprit, qu’il sera bien incapabl
7 l’homme « subjectif ». Et tout en mentionnant la Bible pour mémoire — « ces pâles écrits », dira le père Pinard de la Boulla
8 ats, de leur époque et de leur formation ? Par la Bible  ? En principe, oui. Mais le principe a beau être affirmé en droit, il
9 à nous qui reconnaissons un critère objectif, la Bible , alors qu’ils ont tout fait de leur côté pour évincer ou, en tout cas
10 lise de Rome à statuer qu’il existe, à côté de la Bible , une autre source. Tout l’effort dogmatique des conciles consiste à a