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temps. Et de même, le témoignage des apôtres, la
Bible
, est le vis-à-vis absolu de l’Église dans notre temps. Il dépend de D
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ification19. Quand nous parlons des témoins de la
Bible
, nous n’avons pas à nous préoccuper outre mesure d’exactitude histori
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ous avons voulu confronter avec les témoins de la
Bible
, les « problèmes » — le mot est bien faible — qui se posent au chréti
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e proposai de lire l’Évangile. Je m’emparai d’une
Bible
qui se trouvait posée sur le bureau et qui s’ouvrit d’elle-même à la
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e » de la Révélation, la première source étant la
Bible
(fons revelationis alter est traditio ecclesiastica). Nous la trouvon
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ppuiera le protestant, avec, pour tout guide, une
Bible
… ou le témoignage intérieur du Saint-Esprit, qu’il sera bien incapabl
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l’homme « subjectif ». Et tout en mentionnant la
Bible
pour mémoire — « ces pâles écrits », dira le père Pinard de la Boulla
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ats, de leur époque et de leur formation ? Par la
Bible
? En principe, oui. Mais le principe a beau être affirmé en droit, il
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à nous qui reconnaissons un critère objectif, la
Bible
, alors qu’ils ont tout fait de leur côté pour évincer ou, en tout cas
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lise de Rome à statuer qu’il existe, à côté de la
Bible
, une autre source. Tout l’effort dogmatique des conciles consiste à a