1 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
1 encore des protestants pour ne pas croire que la Cène est une simple commémoration symbolique. Mais combien s’en trouve-t-i
2 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
2 irmons ce Baptême chaque fois que nous prenons la Cène , communiant ainsi avec la mort et la résurrection de Jésus-Christ. Ce
3 ments que nous éprouvons lors du Baptême et de la Cène n’ont aucune espèce d’importance. Dieu fait pour nous, à ce moment, c
4 dire et à prêcher ce que sont ce Baptême et cette Cène . Certes, ces paroles nous condamnent dans la mesure où nous les prono
5 n’en sont pas moins, comme le Baptême et comme la Cène , dans la mesure où la foi les anime, l’événement central de notre vie
3 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
6 rent tout autrement que le Christ n’a institué la Cène ) : Que Jésus-Christ a donné un grand pouvoir à son Église dans la di
7 en ne recevant qu’une espèce, on ne reçoit qu’une cène et une communion imparfaites, c’est qu’on n’entend pas que c’est l’Ég
8 ang à boire. Étonnez-vous donc aussi de ce que la Cène sacrée est séparée du souper commun ! Mais plutôt ne vous étonnez jam
9 ce n’est pas seulement la question capitale de la Cène , c’est toute la question de la tradition et par là même de la Révélat