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dangereuses. Dites à nous-mêmes, d’abord ; à tous
ceux
qui voudront les entendre ; à ceux auxquels, peut-être mieux qu’à nou
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abord ; à tous ceux qui voudront les entendre ; à
ceux
auxquels, peut-être mieux qu’à nous, il sera donné de les comprendre
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espoir qui ne serait pas le seul désespoir réel :
celui
qui dévaste la nature humaine jusqu’à ces profondeurs dernières où l’
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r ; il n’est pas de réponse à cette question pour
ceux
qui ne savent pas ce que c’est que la foi. Si l’on entend par vie non
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même produit ceci (corruptio optimi pessima) que
ceux
d’entre eux qui perdaient la foi — c’est-à-dire le principe animateur
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ue de fins transcendantes, de l’action optimiste.
Ceux
donc qui rendent le calvinisme responsable du capitalisme commettent
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ble du capitalisme commettent une erreur pire que
celle
qui consisterait à reprocher à Euclide d’avoir permis le développemen
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e liberté d’action et de révolution est promise à
celui
que n’empêtre aucun respect du résultat en soi. Pessimisme rétablissa
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, de se rendre compte de ce qu’elle signifie pour
celui
qui me la pose. Répondre du tac au tac, à la « lettre » de la questio
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marqué, nous pourrons répondre plus clairement à
ceux
qui croient à leur question, j’entends à ceux qui nous la posent parc
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t à ceux qui croient à leur question, j’entends à
ceux
qui nous la posent parce qu’elle se pose à eux-mêmes. Il n’y a pas
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n’y a pas de solutions, — il y a des ordres 1.
Celui
qui veut vraiment agir ne demande pas d’abord un programme, mais d’ab
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chacun des cas de l’existence, inconcevable pour
celui
qui se place en dehors du cas. Cette révélation ne peut pas être form
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s et de l’espace : voici ce que tu dois faire. À
celui
qui demande : que dois-je faire ? le chrétien n’a donc rien à répondr
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soit un remède. Doctrine désespérante ? Oui, pour
ceux
qui cherchent des espoirs à bon compte, hors de la réalité certaineme
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inopérantes, et toujours équivoques ; désorienter
celui
qui s’imagine être debout quand il n’a fait que truquer les repères ;
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é et poursuite du vent », y compris la sagesse de
celui
qui croit trouver dans cette sentence la justification de son refus d
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ssent une vanité, et la vraie joie n’est pas avec
ceux
qui nous parlent de la « tristesse » du message barthien, puisqu’ils
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donc, il ne nous reste — émouvant spectacle pour
ceux
qui n’ont pas le vertige — qu’à rapporter constamment ces deux attitu
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st pas nôtre. Et le risque permanent, c’est alors
celui
qu’encourt l’homme jeté par la révélation de la Parole dans une situa
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devenu tout simplement « le voisin inévitable »,
celui
que définit, d’ailleurs, le Droit romain. Nous voudrions montrer ici
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lème ? Car un problème n’est jamais réel que pour
celui
qui peut l’incarner dans sa vie, le résoudre au concret, ou bien péri
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e renonce à assumer personnellement son risque et
celui
du « prochain » ? L’erreur fasciste est peut-être plus grave que les
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u, considérés d’un point de vue qui n’est plus ni
celui
du je ni celui du tu, c’est-à-dire considérés dans leur rapport objec
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’un point de vue qui n’est plus ni celui du je ni
celui
du tu, c’est-à-dire considérés dans leur rapport objectivé, vu par un
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l est pour moi, à tel instant, le symbole réel de
Celui
qui nous a dit : « En vérité, toutes les fois que vous avez fait cela
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son tour, fait entendre un langage qui n’est pas
celui
des humains, c’est à la raison seule qu’il se révèle, et ce n’est plu
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ait conduire l’humanité à des impasses mortelles,
celles
-là mêmes où se désespère le xxe siècle. Mais avant que d’y venir, et
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délire d’isolement idéaliste. À l’autre extrême,
celui
du délire objectif ou technique, plaçons ce capitaine qui ne voyait j
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sans doute, parce qu’il est plus inconscient, que
celui
de nos essais critiques. Mais Ramuz, comme ses héros, s’arrête encore
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e couvert duquel renaissent bien des hérésies, et
celles
-là mêmes que les réformateurs combattirent le plus âprement. Le « pro
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rop haut, à cause de quelques sourds, indisposant
ceux
qui ne le sont point. Nous tenterons simplement, désormais, de « donn
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n homme juif, l’acte de foi impossible à l’homme,
celui
que Pierre fit lorsqu’il dit à Jésus : « Tu es le Christ, le Fils du
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Révélation, le temps de Jésus-Christ, le temps de
celui
qui a été annoncé aux prophètes et aux apôtres pour qu’ils en témoign
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e manière tout à fait particulière, qui n’est pas
celle
dont se distinguent les temps de l’homme en dehors de la Parole de Di
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e. Il faut un saut17. Prenons un exemple fameux :
celui
de Pierre à Césarée de Philippe. Certes, Pierre vit dans le même temp
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assique, que d’aucuns n’hésitent pas à comparer à
celui
du Vinci, que d’autres, simplement, qualifient de patriarcal. Tel est
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appa : « Wilfred Monod, m’écriai-je, n’est-ce pas
celui
qu’un de mes amis, effrayé de son humanisme, a baptisé l’homme qui ne
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ème de la mort à soi-même et au monde est l’un de
ceux
qui préoccupent le plus, et à très juste titre, nos jeunes barthiens,
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une expérience est à la portée d’un quelconque. À
ceux
qui préconisent un pareil idéal (au moins en apparence, entraînés par
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, assez juste, eussent été d’une autre nature que
ceux
de M. Dürrleman… Je ne sais si vous sentez comme moi, mais cette « cl
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périence re-li-gieuse ! N’étais-je pas en face de
Celui
… Oh non ! pas ces théologiens avec leurs arguments impitoyables, — éc
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n’êtes que devant Nicodème, et moi j’étais devant
Celui
… Celui qui m’a coupé la parole, durement : « En vérité, en vérité, je
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que devant Nicodème, et moi j’étais devant Celui…
Celui
qui m’a coupé la parole, durement : « En vérité, en vérité, je te le
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c de Ses miracles, et des actions de ses apôtres,
celles
que j’ai vues et que j’atteste ! Mais voilà… il y a eu ceci de plus,
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passages : — « Qui est vainqueur du monde, sinon
celui
qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ? Nous sommes là en pleine et
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s ces métaphores, le seul fait qui demeure, c’est
celui
que Barth exprimait si magnifiquement dans une de ses réponses aux ob
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que nous discutons ? C’est le problème inverse de
celui
d’Hamlet. « Être ou ne pas être », disait Hamlet. Et nous disons : mo
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ment impossible ! Voilà l’angoisse et la folie de
ceux
qui défendent l’expérience, sachant bien, cependant, que la seule exp
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a vivre, et sachant qu’on ne peut la vivre. Entre
celui
qui affirme qu’on ne peut pas mourir, et celui qui affirme l’exigence
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re celui qui affirme qu’on ne peut pas mourir, et
celui
qui affirme l’exigence de la mort, il n’y a peut-être aucune différen
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faites un argument théologique ! Où donc est-il,
celui
qui accepte de mourir ? Oui, maintenant, je vais vous dire la vérité
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té, bien qu’il fût beaucoup moins péremptoire que
celui
dont les autres avaient usé. — Vous avez dit — commença-t-il d’une vo
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s’opposer au baptême des enfants, c’est-à-dire de
ceux
qui ne peuvent rien encore… Ainsi donc, deux choses demeurent : Par l
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distinguos infinis par où le pire subjectivisme,
celui
de la prudence opportuniste, s’insinue jusqu’au cœur de la dogmatique
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st de combler tant bien que mal tous les abîmes :
ceux
qui séparent l’éternel du temporel, Dieu de l’homme, la grâce de la n
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érité, il le faut déclarer hérétique, de même que
ceux
qui lui donnèrent l’imprimatur. Et si Bossuet n’a pas déformé la véri
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e ce premier concile de Nicée, s’ajoutent ensuite
celles
des conciles d’Éphèse, de Chalcédoine, etc., etc. Puis, dès 514, les
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re : « L’œuvre de Dieu, c’est que vous croyiez en
celui
qu’il a envoyé. » (Jean 6:29) Si vous croyez cela sérieusement, si vo
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3, vous retrouvez le sens de la vraie tradition :
celle
qui n’est pas une « autre source », un vain renfort humain, mais la s
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synthèse de l’eau et du feu sans éteindre le feu.
Celui
qui affirmerait y être parvenu ne prouverait-il pas simplement qu’il
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s les deux espèces est celle-ci : Jésus a dit : «
Celui
qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle », mais il
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, mais il a dit néanmoins (dixit nihilominus) : «
Celui
qui mange ce pain vivra éternellement » (Jean 6:55 et 6:59). On n’ose
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ncile a pris soin de déclarer par avance anathème
celui
qui dirait que l’Église n’a pas été amenée par des raisons justes (iu