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sychologie, pour réfuter par des raisons humaines
ces
démons que seule la prière peut délivrer d’eux-mêmes ; en face d’une
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sition ne prendra jamais son point de départ dans
ces
idées mêmes, mais bien dans une réalité qui les domine et qui les jug
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éel : celui qui dévaste la nature humaine jusqu’à
ces
profondeurs dernières où l’attend l’espoir éclatant de la révélation.
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disons le « monde-chrétien », nous exprimons par
ces
deux mots l’antinomie hors de laquelle toute méditation constructive
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s. Mais la foi, bien souvent, ne peut qu’aiguiser
ces
oppositions naturelles ; bien plus, elle crée des conflits là où l’ho
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tend à conserver son mouvement). C’est ainsi que
ces
activistes désorientés ont développé le capitalisme, symbole même de
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oi, quand tu grinceras des dents sous le genou de
ces
démons que tu veux ignorer hic et nunc. Peut-être.) Je ne veux parler
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st bien clair qu’elle condamne, dans la mesure où
ces
idolâtries sont suspendues à la réussite matérielle ou à des systèmes
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re à un tourment réel, maladroitement exprimé par
ces
mots. Mais, bien souvent aussi, on répond mal parce qu’on prend au sé
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d au sérieux des fumistes. Nous appelons fumistes
ces
messieurs qui nous interrogent avec politesse sur nos intentions et n
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ce qui se manifeste par des ordres personnels, et
ces
ordres sont pratiques, ou ils ne sont rien. On dirait, à entendre par
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es et certaines directives « positives »… Mais si
ces
directives venaient à nous manquer, que ferions-nous de cette « foi »
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t bien claire. Nous préférons demander aux hommes
ces
ordres que l’on ne peut attendre que de Dieu : parce qu’avec les homm
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ues. Je ne me serais pas attardé à développer ici
ces
thèses, si dans leur expression elles ne comportaient, à première vue
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se trouve-t-il à son tour jugé ? Si l’on récusait
ces
questions, on affirmerait par là même que l’acte créateur se crée soi
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accusation qui met en état de crise l’ensemble de
ces
affirmations et de ces négations, cette éthique et cette actualité, c
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tat de crise l’ensemble de ces affirmations et de
ces
négations, cette éthique et cette actualité, ce refus de toutes les s
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cusation qui consiste simplement à rapporter tous
ces
problèmes à la réalité de Dieu telle qu’elle nous apparaît, c’est-à-d
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mulé un Paul, un Luther, un Calvin, ce sont alors
ces
appréciations toutes humaines qui trahissent une vanité, et la vraie
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eu. Mais comment établir le rapport nécessaire de
ces
deux aspects de la vérité à leur centre vivant ? Le vrai dialecticien
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n’ont pas le vertige — qu’à rapporter constamment
ces
deux attitudes l’une à l’autre, la positive et la négative, à expliqu
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ernelle. ⁂ Loin de moi la prétention d’avoir, par
ces
quelques traits schématiques, voulu décrire une dialectique qui juge
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n moraliste, parle de choix, de risque et d’acte,
ces
mots désignent des réalités éthiques qui n’ont rien de commun avec l’
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jamais directement ?… Nous développerons un jour
ces
thèmes que je me borne ici à suggérer. Voici en attendant la traducti
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é mien, bien qu’avant moi commis ? Pardonneras-tu
ces
péchés dont je suis le cours Et suis encore le cours, bien que je les
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l’être personnel, ni d’aucune réalité humaine. ⁂
Ces
considérations peuvent paraître assez arides, et curieusement abstrai
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ine anxieuse. Peut-être, s’il allait au-devant de
ces
voix, sans armes, les mains nues, au risque de sa vie, peut-être alor
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ou dans la joie de la doctrine du salut. Songez à
ces
pasteurs qui, chaque printemps, saisissent le premier rayon de soleil
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ce même sentiment mêlé d’amour et de terreur, que
ces
mots soient intraduisibles en notre langue13 ? Alors que toute l’Alle
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rine du salut par les œuvres, mais encore on voit
ces
mêmes pasteurs lire sans sourciller la confession de nos églises, qui
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ole. Enfin, la prédication de l’Église procède de
ces
témoignages et renvoie, au-delà d’elle-même, à travers eux, à la Paro
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s cette parole et recevant d’elle sa norme. » Or,
ces
temps différents ne sont pas différenciés seulement par l’éloignement
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n propre aux temps de la Parole. » Autrement dit,
ces
trois temps ne sont pas dans le prolongement historique l’un de l’aut
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s imaginations. Reconnaître, éprouver péniblement
ces
limites, voilà la vraie leçon de nos voyages en Palestine, réels ou f
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e instance critique impitoyable domine sans cesse
ces
tentatives inévitables, et déclare leur vraie signification19. Quand
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forts de représentation : puisqu’aussi bien, tous
ces
efforts ne pourront jamais nous conduire sur le plan véritable et dan
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re sur le plan véritable et dans le temps réel où
ces
témoins sont apparus. Dans un certain sens, on peut dire que l’échec
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un certain sens, on peut dire que l’échec seul de
ces
efforts leur confère, s’il est déclaré expressément, s’il est éprouvé
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ctive du Christ vivant, pensée « chrétienne ». Et
ces
témoins, ces vis-à-vis, nous jugent, ce n’est pas nous qui les jugeon
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st vivant, pensée « chrétienne ». Et ces témoins,
ces
vis-à-vis, nous jugent, ce n’est pas nous qui les jugeons. Leurs erre
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é depuis longtemps toute espèce d’amour-propre en
ces
matières ! —, un jugement si désobligeant, dis-je, pour l’un de mes c
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savez qu’il a 3000 pages. Mais que dites-vous de
ces
deux phrases qui me sont tombées sous les yeux tandis que je parcoura
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On s’imagine qu’on est la seule qui n’a pas fait
ces
expériences. À la fin, c’est déprimant ! Nicodème. — Ma chère Poupet
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tôt l’esprit français, tantôt Frommel et Vinet, —
ces
Helvètes — tantôt Calvin, qui écrivait en latin des choses que Barth
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docteur venu de Dieu ; car personne ne peut faire
ces
miracles que tu fais, si Dieu n’est avec lui. Jésus lui répondit : En
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ondit : Tu es docteur d’Israël, et tu ne sais pas
ces
choses ! En vérité, en vérité, je te le dis, ce que nous savons nous
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e ! N’étais-je pas en face de Celui… Oh non ! pas
ces
théologiens avec leurs arguments impitoyables, — écartez-vous, ne dit
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ement — rentrer dans le sein de sa mère ! Et tous
ces
galopins viennent aujourd’hui prétendre que c’est cela seul qui compt
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tations. Je ne vous rapporterai que le dernier de
ces
passages : — « Qui est vainqueur du monde, sinon celui qui croit que
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t pur, je déclare ne plus rien comprendre à rien.
Ces
“ondes radioactives du Salut”, cela s’appelle, en bonne scolastique,
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ter : « Quoi qu’il en soit, d’ailleurs, de toutes
ces
métaphores, le seul fait qui demeure, c’est celui que Barth exprimait
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mourir tout à fait. » Le dirai-je ? Ce dialogue,
ces
rires et ces affirmations si délibérément tragiques ne firent qu’aviv
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à fait. » Le dirai-je ? Ce dialogue, ces rires et
ces
affirmations si délibérément tragiques ne firent qu’aviver en moi l’e
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lieu ne s’y prêtait guère, me semblait-il : entre
ces
jeunes barthiens d’une part, si convaincus et si merveilleusement inc
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ne nie pas un instant la vérité, comme telles, de
ces
formules. Mais vous tenez le mot d’une énigme qui ne vous a pas longt
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her ce que sont ce Baptême et cette Cène. Certes,
ces
paroles nous condamnent dans la mesure où nous les prononçons sans fo
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blement, son espérance. ⁂ Nous nous séparâmes sur
ces
mots. Les « barthiens » qui avaient parlé regagnèrent leur lieu vérit
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émoignages qui nous restent de la « personne » de
ces
saints… On pourrait remarquer que tout cela, même simplifié dans mon
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hèses ! « Blasphème ! me dit alors un catholique.
Ces
synthèses ne remplaceront jamais les mérites acquis, par les souffran
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Et tout en mentionnant la Bible pour mémoire — «
ces
pâles écrits », dira le père Pinard de la Boullaye à Notre-Dame — on
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spiritualité française » : je relève, au hasard,
ces
deux qualifications de Bossuet dans des articles récents de chronique