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en pouvait distinguer ; et surtout elle impose un
choix
d’ailleurs humainement impossible, là où l’homme naturel s’abandonnai
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ordre véritable. La décision éthique est toujours
choix
: on ne peut choisir pour un autre. Mais on peut, dans le cas, et pou
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e bascule automatique. Le tragique s’évanouit, le
choix
s’élude, la personne se dissout dans un processus qui nie l’acte et l
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nt faire de doute. Ailleurs4, j’ai pu marquer mon
choix
et quelles conséquences il entraîne dans l’ordre politique, par exemp
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» et comportant par suite le risque personnel, le
choix
et l’acte, une sorte de « contre-Hegel » radical, voilà qui ne peut m
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elle. Qu’un philosophe, qu’un moraliste, parle de
choix
, de risque et d’acte, ces mots désignent des réalités éthiques qui n’
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n’ont rien de commun avec l’acte, le risque et le
choix
dont parle la théologie dans sa dialectique absolue. Il n’y a plus ic
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ole, que l’homme ne peut saisir que dans la foi ;
choix
de l’élection, c’est-à-dire d’une possibilité qui n’est pas nôtre. Et
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éjà il fuit, déjà il s’offre. C’est le je qui est
choix
. L’acte qui me distingue du monde n’est pas autre que cet élan de ref
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ce d’un « esprit », qui s’imagine dégagé d’un tel
choix
, et qui le considère comme une alternative extérieure à son être, un