1 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
1 en pouvait distinguer ; et surtout elle impose un choix d’ailleurs humainement impossible, là où l’homme naturel s’abandonnai
2 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
2 ordre véritable. La décision éthique est toujours choix  : on ne peut choisir pour un autre. Mais on peut, dans le cas, et pou
3 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
3 e bascule automatique. Le tragique s’évanouit, le choix s’élude, la personne se dissout dans un processus qui nie l’acte et l
4 nt faire de doute. Ailleurs4, j’ai pu marquer mon choix et quelles conséquences il entraîne dans l’ordre politique, par exemp
5 » et comportant par suite le risque personnel, le choix et l’acte, une sorte de « contre-Hegel » radical, voilà qui ne peut m
6 elle. Qu’un philosophe, qu’un moraliste, parle de choix , de risque et d’acte, ces mots désignent des réalités éthiques qui n’
7 n’ont rien de commun avec l’acte, le risque et le choix dont parle la théologie dans sa dialectique absolue. Il n’y a plus ic
8 ole, que l’homme ne peut saisir que dans la foi ; choix de l’élection, c’est-à-dire d’une possibilité qui n’est pas nôtre. Et
4 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
9 éjà il fuit, déjà il s’offre. C’est le je qui est choix . L’acte qui me distingue du monde n’est pas autre que cet élan de ref
10 ce d’un « esprit », qui s’imagine dégagé d’un tel choix , et qui le considère comme une alternative extérieure à son être, un