1
ort pour la réaliser. Vérité donc essentiellement
concrète
, vérité qui ne peut s’accomplir dans une synthèse satisfaisante en so
2
affaire d’obéissance aux ordres imprévisibles et
concrets
de la Parole. Point de « synthèse », point de « consolation » ailleur
3
i qui peut l’incarner dans sa vie, le résoudre au
concret
, ou bien périr par lui. Il n’y a pas au monde un seul problème dont l
4
pas à les connaître autrement que par la question
concrète
qu’elles m’adressent ; et cette question ne peut être concrète — ne p
5
lles m’adressent ; et cette question ne peut être
concrète
— ne peut être un conflit véritable — que si c’est un autre homme, en
6
l’un des pôles de leur être n’est plus visible ni
concret
, échappe aux prises de leurs mains. Pour chacun d’eux, le tu es deven
7
arides, et curieusement abstraites, s’agissant du
concret
par excellence. J’espère toutefois que le lecteur les aura transposée
8
t amour, enfin, l’homme et les choses accèdent au
concret
de leur existence, assumant leur rapport de mutuelle responsabilité.
9
rai mon petit carnet) : « Je reste sur le terrain
concret
de l’humble “bon sens” (cartésien ?), et de la quotidienne “expérienc
10
n cela ! Moi. — M. Monod dit même : « Le terrain
concret
de l’humble bon sens cartésien. » Étiez-vous vraiment « cartésien » e
11
e de la table rase se soit placé sur le « terrain
concret
de l’humble bon sens » ? Pardonnez-moi d’ergoter… Mais je sais bien c