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dèlement, comme le voulait Calvin, le contenu des
dogmes
de l’Église chrétienne. Cette indifférence est si profonde qu’elle re
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ces non seulement des affirmations renouvelées du
dogme
, mais encore les critiques les plus vives des hérésies qui se sont in
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aussi le Christ. Ainsi l’histoire, la durée, les
dogmes
appris, nous dispenseraient progressivement de faire en présence du V
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que ce n’est pas la lettre et la formulation des
dogmes
qui m’importent, mais la manière dont on en use dans l’Église romaine
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ell., numéro cit., p. 363. 25. Sur des points de
dogme
aussi importants que la prédestination (pour Augustin) ou l’Immaculée
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disait récemment qu’il atteste la « vérité » des
dogmes
! Hegel, et Spinoza, et Marx ne sont-ils pas plus « cohérents » que t
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n le voit bien à ce trait : le « développement du
dogme
» n’est en fait qu’une stratification de refus, de défenses contre le
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ffets étranges. Ainsi je trouve dans Denzinger ce
dogme
: « brûler les hérétiques n’est pas contraire au Saint-Esprit ». C’es