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me implique notre effort pour la réaliser. Vérité
donc
essentiellement concrète, vérité qui ne peut s’accomplir dans une syn
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’est pas attesté dans l’acte de la foi. Qu’est-ce
donc
, en effet, que l’effort humain ? Sinon l’exercice nécessaire de l’âme
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qui nous assure le Pardon, c’est la foi. Agissez
donc
, mais votre action ne sert de rien. L’hérésie pessimiste et l’hérésie
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fins transcendantes, de l’action optimiste. Ceux
donc
qui rendent le calvinisme responsable du capitalisme commettent une e
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oi et ce qui nous paraît la « défier ». Que faire
donc
? Briser d’abord les idoles, menaçantes. Et puis rester aux ordres de
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qui viennent nous parler d’une Révélation. Est-ce
donc
qu’une grande lumière leur est venue dans cette nuit ? Est-ce qu’ils
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lumière à la mesure de leur obéissance. Ils n’ont
donc
pas reçu une révélation ésotérique, que l’homme d’aujourd’hui, sans d
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qui demande : que dois-je faire ? le chrétien n’a
donc
rien à répondre, en principe. Il ne peut que renvoyer à la seule forc
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tentat métaphysique contre l’éthique ». Il s’agit
donc
ici d’une dialectique à deux termes simultanés, et dont la tension n’
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verait, le ferait tomber dans l’histoire. « Ainsi
donc
, il ne nous reste — émouvant spectacle pour ceux qui n’ont pas le ver
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, se rapporte aux réalités dernières. Qu’y a-t-il
donc
entre ce non dernier et tous nos sic et non ? Qu’y a-t-il entre cette
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out cela dans notre parler quotidien. Nous dirons
donc
: Dieu premier et dernier, et ensuite seulement notre recherche, mais
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rsonne est la mise en question d’un je par un tu,
donc
une rencontre, cette rencontre n’a lieu que dans le je et dans le tu.
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qui s’enferme dans sa particularité, — qui refuse
donc
d’être le prochain de son frère. 10. ou tout autre « isme » qu’on vo
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nos théories nous y ramènent. Notre ambition doit
donc
se limiter à poser clairement le problème, et à formuler, si possible
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. La question précise que nous nous poserons sera
donc
simplement celle-ci : comment se mettre en garde contre l’illusion hi
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ui composent ce numéro de Hic et Nunc. Qu’il soit
donc
bien établi : 1° que les efforts de notre imagination, qu’ils s’expri
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es, simplement, qualifient de patriarcal. Tel est
donc
Nicodème, et tel est son aspect vénérable. Pour ses qualités d’âme, j
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engagea sans aucune gêne. Nicodème. — Nous voici
donc
d’emblée ramenés à notre vieux débat. Je n’ignore pas que l’éternel p
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ous l’attestons… » Mais que sais-je ? Et qu’ai-je
donc
vu ?… C’était bien moi !… Moi, Nicodème, docteur et professeur des ch
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ndra, cette heure absurde. J’ai vu… Mais qu’ai-je
donc
vu ?… J’ai vu que l’homme ne peut pas se dépouiller de son humanité,
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ème, suspect à toute la tradition, ah ! que c’est
donc
facile et rassurant de jeter la pierre à Nicodème ! Nicodème, l’orgue
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ela que j’atteste et professe, et que voulez-vous
donc
qu’un professeur enseigne, si ce n’est ce qu’il a vécu, entendu et vu
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rêcher l’expérience ! », disent-ils. Que font-ils
donc
de Ses miracles, et des actions de ses apôtres, celles que j’ai vues
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mourrions totalement à nous-mêmes ? Laissons-nous
donc
radiographier, tout simplement ! S’il existe une cure moins radicale
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ement qu’en mourant pour eux”. Que pourrions-nous
donc
faire de plus que lui ? L’imitation du Christ, c’est de mourir en lui
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met, hélas, dans ses moindres propos… J’en étais
donc
à hésiter assez lâchement, lorsqu’un des étudiants lança, tourné vers
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té, plus ou moins consumée par le péché. Pourquoi
donc
Nicodème défend-il l’expérience ? Parce qu’il ne veut parler que de c
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tait : Qu’est-ce que j’ai vu ? Qu’est-ce que j’ai
donc
vécu, pendant cette fameuse nuit ?… Toute son expérience échouait dev
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adioactivité de l’Évangile ! Mais vous, avez-vous
donc
dépassé cette angoisse ? Vraiment, l’avez-vous surmontée ? Quelquefoi
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quand vous en faites un argument théologique ! Où
donc
est-il, celui qui accepte de mourir ? Oui, maintenant, je vais vous d
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je ne puis pas m’exprimer plus clairement. Voici
donc
, en peu de mots, ce que je crois, pour mon compte. L’angoisse de Nico
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-à-dire de ceux qui ne peuvent rien encore… Ainsi
donc
, deux choses demeurent : Par le Baptême et la Communion dans la foi,
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élaborées par les conciles et les bulles papales,
donc
simple catalogue de résultats, sans commentaires ni justifications. S
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erté d’interdire sévèrement cette pratique… Quand
donc
on veut s’imaginer qu’en ne recevant qu’une espèce, on ne reçoit qu’u
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onner en même temps le sang à boire. Étonnez-vous
donc
aussi de ce que la Cène sacrée est séparée du souper commun ! Mais pl
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exes catholiques » que ce texte trahit. Reprenons
donc
la page de Bossuet : « … Le Sauveur a-t-il voulu laisser aux hommes à
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grâce auquel l’Écriture nous parle. Serions-nous
donc
d’accord ? Lisons plus loin : « Le Sauveur n’a-t-il pas voulu au cont
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le sait ce que Jésus-Christ a voulu faire. Elle a
donc
le pouvoir de séparer ce qu’il avait mis ensemble, de cesser de faire
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faire le contraire de ce qu’il a fait.) Qu’est-ce
donc
que cette tradition de tous les siècles ? C’est, nous répond l’Enchir
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raient être, en bonne logique, ses juges. Il faut
donc
admettre ou bien que les conciles sont le seul critère des conciles ;
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que Bossuet loue l’Église d’avoir exécutée, n’est
donc
pas contenue dans l’Écriture. Il faudra la chercher alors dans l’autr