1 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
1 n, les autres — ou parfois les mêmes — de vouloir fonder dans ce monde un Royaume de Dieu qui pour capitale, plutôt que Genève
2 ationalismes, et toute révolution qui prétendrait fonder notre salut sur une organisation terrestre quelle qu’elle soit. Il ne
2 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
3 pirituel. Il me paraît certain qu’une dialectique fondée sur l’actualité permanente de la personne nous oppose d’une part à l’
3 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
4 nd, que si l’on se réfère au rapport primitif qui fonde la personne humaine : le rapport de l’homme à son Créateur. Le Droit
5 tien, dans l’acte de la communion avec le Christ, fonde véritablement l’Église universelle. L’Église est universelle parce qu
4 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
6 « tradition ». En effet, sur quelle autorité se fonde-t -elle ? Sur les conciles. Et ceux-ci à leur tour ? Prenons le concile
7 ela est clair encore : l’autorité des conciles se fonde sur l’inspiration du Saint-Esprit. Comment ce Saint-Esprit sera-t-il
8 u « subjective » les docteurs catholiques se sont fondés pour opposer à la tradition de leur temps (qui était encore le « Buve
9 dition ? Tout l’effort dogmatique des conciles se fonde dans cette inquiétude32, qui a conduit l’Église de Rome à statuer qu’
10 rporer impunément Aristote à une tradition qui se fonde dans la Révélation ; pas plus qu’on ne peut faire une synthèse de l’e