1 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
1 acceptation du salut impossible, paradoxe dont la formule est le nom même de Jésus-Christ. La réalité centrale d’une telle dial
2 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
2 ie peu d’examiner « librement », comme le veut la formule rationaliste, ou fidèlement, comme le voulait Calvin, le contenu des
3 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
3 n apparence, entraînés par l’exagération de leurs formules téméraires) je dirais volontiers : un homme ne peut se dépouiller de
4 st bien dit ! Ce M. Monod a vraiment le don de la formule . Et quelle charité dans tout ce qu’il écrit ! Poupette (fille de Nic
5 le que vous essayez plutôt de la conjurer par des formules théologiques. Je ne nie pas un instant la vérité, comme telles, de ce
6 ie pas un instant la vérité, comme telles, de ces formules . Mais vous tenez le mot d’une énigme qui ne vous a pas longtemps empê
4 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
7 n une fort belle définition24. Or, si je cite une formule d’Augustin, qui est un grand saint, on me répond que cette formule lu
8 n, qui est un grand saint, on me répond que cette formule lui est tout à fait personnelle, et l’on m’oppose une thèse thomiste 
9 recours à quelque « Enchiridion », ou recueil des formules dogmatiques élaborées par les conciles et les bulles papales, donc si
10 dre à l’objection de nos frères romanisés. Si les formules par lesquelles je résume leurs croyances ne sont pas « à la lettre »
11 veut pas se borner à la pure et simple copie des formules élaborées par les conciles, est bien forcé de parler un langage perso
12 us haut, à récuser l’une après l’autre toutes les formules qui pourraient amener à poser la question d’une manière claire et net
13 c’est précisément ce que je cherche : l’écho des formules orthodoxes dans la conscience des fidèles, et des fidèles de ce pays
14 Nicaea cum spiritu sancto congregati fuerunt. Aux formules de ce premier concile de Nicée, s’ajoutent ensuite celles des concile