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que nul homme n’est en mesure de la donner à son
frère
: c’est la foi. Tout au plus pouvons-nous, par des affirmations qui t
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vez fait cela à un seul des plus petits parmi mes
frères
que voici, c’est à moi que vous l’avez fait. » Et si ce tu, non seule
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rité, — qui refuse donc d’être le prochain de son
frère
. 10. ou tout autre « isme » qu’on voudra. g. Rougemont Denis de, «
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t ici simplement de répondre à l’objection de nos
frères
romanisés. Si les formules par lesquelles je résume leurs croyances n
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là l’opposition réelle, du noir au blanc, que nos
frères
catholiques ont tant de peine à distinguer. Et comment la distinguera
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i nous fournit son critère objectif. Pourquoi nos
frères
catholiques nous reprochent-ils notre subjectivisme, à nous qui recon
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a croie, que je lui obéisse et qu’elle me sauve ?
Frères
catholiques, à la question que vous adressez à la Réforme, du haut d’