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d’attester la scandaleuse doctrine du « salut de
grâce
et bonté pure », du salut par la foi, par l’abandon aux mains du Dieu
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ndraient plus réellement compte du péché ni de la
grâce
. Et le symbole de cette passivité, proclamé par la Renaissance, c’est
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Salut”, cela s’appelle, en bonne scolastique, la
grâce
infuse ! et si toute notre humanité est soumise à cette fécondation p
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iques, d’influx spirituel dans le vieil homme, de
grâce
infuse et de radioactivité de l’Évangile ! Mais vous, avez-vous donc
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parent l’éternel du temporel, Dieu de l’homme, la
grâce
de la nature, et la Révélation de notre raison ? Au point qu’on en ar
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es si la raison des scolastiques, éclairée par la
grâce
, n’avait su les achever en les incorporant à la tradition de l’Église
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de même du purgatoire, de l’analogia entis, de la
grâce
infuse, de la révélation progressive : termes transitifs introduits p
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dans l’Écriture, et par l’action du Saint-Esprit,
grâce
auquel l’Écriture nous parle. Serions-nous donc d’accord ? Lisons plu
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ui est comme un commentaire de la première : « Ma
grâce
te suffit »33, vous retrouvez le sens de la vraie tradition : celle q
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as contraire au Saint-Esprit. » 33. L’acte de la
grâce
, l’acte libre et parfait de la libre grâce que Dieu nous fait ; et no
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de la grâce, l’acte libre et parfait de la libre
grâce
que Dieu nous fait ; et non point cette infusio, ce principium divinu
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e infusio, ce principium divinum que Rome appelle
grâce
. Voir l’article de R. de Pury. m. Rougemont Denis de, « Sur une pag