1
’accommoder les relations dans le sens de la plus
grande
facilité de réalisation. La politique est un art de synthèses pratiqu
2
a sécurité, et qui n’ont pas de vérité. ⁂ La plus
grande
liberté d’action et de révolution est promise à celui que n’empêtre a
3
nous parler d’une Révélation. Est-ce donc qu’une
grande
lumière leur est venue dans cette nuit ? Est-ce qu’ils ont, eux, la c
4
ion d’un hymne de John Donne (1573-1661), le plus
grand
des « poètes métaphysiciens » de l’école anglaise. Une première tradu
5
tualistes qui aimaient à dire : « La solution des
grands
problèmes sociaux est une question de morale individuelle. » L’origin
6
mme le veut la géométrie euclidienne, il est plus
grand
que chacun des éléments qui le composent. Il s’arroge des droits sur
7
st qu’elle nous assaille de toutes parts avec ses
grands
panneaux hauts en couleur promenés par les rues allemandes et italien
8
Précisions sur la mort du
Grand
Pan (avril 1934)i C’est en notre vie seule que la Nature vit. Co
9
phe. Mais c’est encore une illusion d’orgueil. Le
grand
Pan n’est pas mort pour si peu, et sa domination terrifie les provinc
10
au risque de sa vie, peut-être alors le secret du
grand
Pan s’ouvrirait-il à son amour ? Mais serait-ce amour ou défi ? Empéd
11
Adam vit. Le message de Pâques, c’est la mort du
Grand
Pan11. ⁂ Le Nouvel Adam vit : il ne vit que dans la promesse. Cette P
12
ouveau Testament… 11. On confond communément le
Grand
Pan avec la Nature. Erreur moderne. Le Grand Pan, c’est notre angoiss
13
t le Grand Pan avec la Nature. Erreur moderne. Le
Grand
Pan, c’est notre angoisse devant la Nature. La Résurrection nous déli
14
’utilité l’invite à établir entre eux et lui. Une
grande
correspondance existe entre tous les êtres moraux et physiques. Il n’
15
Rougemont Denis de, « Précisions sur la mort du
grand
Pan », Hic et Nunc, Paris, avril 1934, p. 41-50.
16
, elle devrait provoquer le scandale chez la très
grande
majorité des auditeurs. Nous ne lapidons plus les prophètes : nous sa
17
tit espace dont nous disposons pour aborder de si
grands
sujets, force nous est de condenser, de couper court à des développem
18
xactitude historique, archéologique, etc. La plus
grande
fantaisie nous est permise dans nos efforts de représentation : puisq
19
s d’âge. Sa barbe blanche et ses joues roses, son
grand
front d’humaniste et ses yeux vifs de Méditerranéen lui composent un
20
périences, et leurs récits t’eussent fait le plus
grand
bien. Certes, il y a des abus partout, mais de là à condamner la noti
21
ému, et donna l’accolade à chacun. Puis il fit un
grand
geste de ses deux bras levés, — comme pour bénir les circonstants, —
22
onologue de Nicodème ne paraissait pas avoir fait
grande
impression sur cette enfant, trop habituée sans doute à la confession
23
Vous voyez bien qu’ils cherchent à se rassurer, à
grand
renfort d’images impressionnantes, de métaphores mystiques, d’influx
24
, n’est-ce pas ? Et l’expérience religieuse de ce
grand
docteur de l’Église avait bien su les reconnaître. C’était conforme à
25
tion des catholiques eux-mêmes vis-à-vis de leurs
grands
docteurs, on est obligé de constater que cette objection ne porte guè
26
Or, si je cite une formule d’Augustin, qui est un
grand
saint, on me répond que cette formule lui est tout à fait personnelle
27
institué la Cène) : Que Jésus-Christ a donné un
grand
pouvoir à son Église dans la dispensation de ses mystères !… Il a per
28
’est là sa grandeur, ou, comme je l’écrivais, son
grand
pouvoir. » Les positions sont nettes maintenant. Examinons alors l’or
29
tion (et de tant d’autres) serait-il devenu moins
grand
, avec le temps, qu’il ne l’était en 1569 ? La tradition serait-elle u
30
crivains, s’appelassent-ils Paul Claudel. Ce très
grand
poète est l’auteur des plus monumentales âneries qui aient jamais été
31
à cette décision dogmatique (Canon 2). 29. « Ce
grand
Docteur », — « ce père de la spiritualité française » : je relève, au