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te, comme toutes les positions existentielles, qu’
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nous défendrons ; intenable comme le fait chrétien lui-même, — s’il n
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concepts réduits au même ordre, mais ce n’est pas
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du concept de la foi que nous parlons. C’est de la foi vivante. Or, c
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gnorer hic et nunc. Peut-être.) Je ne veux parler
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que du principe de notre politique ; il est bien clair qu’elle condam
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s assure de l’action continue de la foi. Je songe
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à l’armature catholique, qui condamne cette Église au réformisme modé
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drions que toutes les questions que nous poserons
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soient accueillies : avec un sérieux et un respect si peu feints qu’i
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sément, c’est cette force qui me dit : « Tu dois,
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et maintenant. » — Mieux vaudrait cent-mille fois s’écrier : « Non, j
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le tâche véritablement positive que notre effort,
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, peut s’assigner sans fol orgueil. « Positif » est ce qui rapproche d
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t métaphysique contre l’éthique ». Il s’agit donc
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d’une dialectique à deux termes simultanés, et dont la tension n’est
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ctiques. Je ne me serais pas attardé à développer
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ces thèses, si dans leur expression elles ne comportaient, à première
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r les toutes superficielles appréciations portées
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ou là contre la théologie dialectique incriminée de pessimisme romant
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(mais vraiment homme !) c’est ce qui est affirmé
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et qui ici devient la vérité vivante, le contenu décisif d’un vrai di
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ment homme !) c’est ce qui est affirmé ici et qui
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devient la vérité vivante, le contenu décisif d’un vrai discours sur
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revenions au schéma hégélien, il faudrait dire qu’
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la synthèse précède et seule provoque l’antithèse, dont le sens n’est
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ologie dans sa dialectique absolue. Il n’y a plus
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d’opération réelle que par la Parole de Dieu : acte de la Parole, que
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développerons un jour ces thèmes que je me borne
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à suggérer. Voici en attendant la traduction d’un hymne de John Donne
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ailleurs, le Droit romain. Nous voudrions montrer
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d’une part l’identité de la personne, telle qu’on peut l’opposer à ce
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es limites de l’incarnation personnelle. On songe
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tout de suite à la question sociale. On se souvient peut-être aussi d
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mme en dehors de la Parole de Dieu, et qui dépend
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de la distinction propre aux temps de la Parole. » Autrement dit, ces
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ment, mon point de vue, que mon ami Monod exprime
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. Le terrain du bon sens, eh oui ! c’est bien cela ! Moi. — M. Monod
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role de Dieu ! Il me semble que c’est assez ! —
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s’engagea un débat extrêmement confus sur la distinction délicate que
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tade, si elle vous est une occasion de triompher,
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, dans la maison de Nicodème ! Tenez, j’ai l’impression, depuis que no
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envoyé par Dieu ! « Mais voyez-vous, nous sommes
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au nœud de ce mystère étourdissant. Nicodème a reconnu un prophète, i
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s et les écrits apostoliques. Mais mon propos est
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simplement de répondre à l’objection de nos frères romanisés. Si les
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èle interprète » des volontés de Dieu. Mais c’est
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que Bossuet nous arrête : « Qu’entendez-vous, nous dit-il, par “fidèl
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: que l’Écriture parle, qu’elle parle clairement,
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et maintenant, que je la croie, que je lui obéisse et qu’elle me sauv