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ise de Guillaume d’Orange est l’arrêt de mort des
idoles
. Elle suppose un Dieu transcendant. Quel dieu fait de nos désirs d’ho
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s annuels de blé, de coton et d’obus. En face des
idoles
, il n’y a que deux attitudes possibles : les adorer ou les fracasser.
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out au plus d’abattre les obstacles à la foi, les
idoles
, les synthèses dans lesquelles l’homme cherche sa sécurité, et qui n’
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a « défier ». Que faire donc ? Briser d’abord les
idoles
, menaçantes. Et puis rester aux ordres de l’esprit. Nous n’avons pas