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ors, si nous voulons parler en vérité d’une telle
incarnation
du oui dans le non, nous ne pouvons que recourir au langage du parado
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rnière, dont l’existence déborde les limites de l’
incarnation
personnelle. On songe ici tout de suite à la question sociale. On se
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qu’elle est le lieu, l’origine et la fin de toute
incarnation
, de toute création, de tout risque. La personne est aussi, par conséq
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e une fois pour toutes par Dieu lui-même dans son
incarnation
unique, dont l’Écriture témoigne. — C’est, rétorque Bossuet, que vous