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férence et je n’échappe point au règne naturel. L’
indifférence
d’un « esprit », qui s’imagine dégagé d’un tel choix, et qui le consi
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un vis-à-vis dont il pourrait se détourner, cette
indifférence
n’est rien que le rêve d’un atome abandonné qui se croit je. Ce rêve
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la conscience du danger s’obscurcit. Une espèce d’
indifférence
monstrueuse se répand chez les civilisés. Formulée d’abord par les él
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Il faut voir que ce mouvement suppose encore une
indifférence
morbide à l’endroit des réalités naturelles et de l’« attente ardente