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ée de pessimisme romantique, de recours abusif au
langage
pathétique5 et au « concept d’angoisse ». Car enfin si le paradoxe n’
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oui dans le non, nous ne pouvons que recourir au
langage
du paradoxe. Car tout autre langage traduirait l’impossible en termes
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e recourir au langage du paradoxe. Car tout autre
langage
traduirait l’impossible en termes de synthèse, l’objectiverait, le fe
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et la thèse, et dont toutes les deux procèdent ?
Langage
affreux, dira-t-on non sans raison. Traduisez-nous un peu tout cela d
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t des constellations à son tour, fait entendre un
langage
qui n’est pas celui des humains, c’est à la raison seule qu’il se rév
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ns : « Tout l’univers s’adresse à l’homme dans un
langage
ineffable qui se fait entendre dans l’intérieur de son âme, dans une
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rt de ses confrères. C’est peut-être pourquoi son
langage
me parut rendre un son d’autorité, bien qu’il fût beaucoup moins pére
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ar la résurrection de Jésus-Christ. Pardonnez mon
langage
, peut-être trop ecclésiastique, mais je ne puis pas m’exprimer plus c
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s commentaires ni justifications. Serait-ce là le
langage
orthodoxe que je cherche ? Il est souvent contraire aux écrits d’Augu
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ées par les conciles, est bien forcé de parler un
langage
personnel, dont il sera toujours possible d’affirmer qu’il n’est pas