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hiérarchique qui préserve l’homme du désespoir et
lui
fournisse un équilibre durable, dont le péché forme sans doute l’une
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u et devant son prochain, en tant que ce prochain
lui
apparaît précisément comme la question que Dieu lui adresse. À la fav
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i apparaît précisément comme la question que Dieu
lui
adresse. À la faveur de cette « conversion », la notion même de posit
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ce qu’ils dénaturent ou refoulent la question, en
lui
fournissant des réponses tantôt prématurées, tantôt inopérantes, et t
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éro « est bien la première poésie dialectique qui
lui
soit tombée sous les yeux » ! Petite erreur de fait, voulons-nous cro
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ue jetant l’homme dans une situation dramatique ;
lui
révélant le néant de ses idoles et la nouveauté inénarrable de l’inst
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a nouveauté inénarrable de l’instant où la Parole
lui
est adressée ; enfin, excitant en lui l’espoir infini au sein du dése
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ù la Parole lui est adressée ; enfin, excitant en
lui
l’espoir infini au sein du désespoir et la joie de la Promesse invisi
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n donnée à l’homme, est la plus propre à créer en
lui
l’organe d’une haute poésie. 3° Enfin toute poésie ne serait-elle pa
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sa vie, le résoudre au concret, ou bien périr par
lui
. Il n’y a pas au monde un seul problème dont la réalité dernière, don
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raux et le ils des collectivistes ? N’est-il pas,
lui
aussi, inactuel et abstrait, et par là même, ne laisse-t-il pas le ch
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l se révèle, et ce n’est plus la peur du sang qui
lui
répond, mais la crainte majestueuse, mêlée d’orgueil, de l’esprit qui
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e par la réponse. Mais l’homme antique n’a pas en
lui
de quoi répondre à la Nature : il est lui-même une question que Dieu
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ffraierait-il pas d’une plainte qui s’adresse, en
lui
, à ce pouvoir qu’il sait avoir perdu ? La Nature se révolte en désord
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« attente ardente ». Il sait qu’elle s’adresse en
lui
à ce qui de lui ressuscite, ayant reçu et accepté la mort. Il peut ai
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e ». Il sait qu’elle s’adresse en lui à ce qui de
lui
ressuscite, ayant reçu et accepté la mort. Il peut aimer : ce n’est p
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dangereuse que la perversion spiritualiste qu’on
lui
oppose depuis le xviiie siècle, sous le nom de Sentiment de la Natur
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argeait, se retourne vers la Nature et s’en aille
lui
demander précisément ce qu’il lui doit : la révélation salutaire. Il
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e et s’en aille lui demander précisément ce qu’il
lui
doit : la révélation salutaire. Il faut voir que ce mouvement suppose
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ailleurs, son optimisme, hérité d’une foi morte,
lui
dissimule l’irréparable gravité. La « communion avec la Nature », tel
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xes que l’utilité l’invite à établir entre eux et
lui
. Une grande correspondance existe entre tous les êtres moraux et phys
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’étoiles, n’ait éprouvé une sorte d’émotion qu’il
lui
était impossible d’analyser ou de définir. On dirait que des voix des
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rgutie papiste le jette dans l’incertitude. Il ne
lui
reste alors que le refuge d’un antidogmatisme cordial, sous le couver
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que seul l’aveu de sa totale insuffisance morale
lui
donne le droit de saisir le salut dont les signes sacrés sont le gage
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our donner à telle problématique l’expression qui
lui
manquait, et dont le défaut empêchait que la question fût posée utile
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sous la forme polémique et non systématique qu’il
lui
a donnée, peut prêter à de graves malentendus. À celui-ci en particul
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vant. » Or, ni la chair, ni le sang n’auraient pu
lui
faire dire cette parole (Matt. 16, 17). C’est Dieu lui-même qui agit
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e (Matt. 16, 17). C’est Dieu lui-même qui agit en
lui
à ce moment, qui lui fait faire le « pas », le saut du temps de la pr
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st Dieu lui-même qui agit en lui à ce moment, qui
lui
fait faire le « pas », le saut du temps de la prophétie au temps de l
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le Christ : il ne le reconnaît pas, il ne voit en
lui
qu’un prophète, il n’est pas son contemporain. Les disciples d’Emmaüs
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ont d’humaniste et ses yeux vifs de Méditerranéen
lui
composent un visage classique, que d’aucuns n’hésitent pas à comparer
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chose qu’expérience. J’avoue que je fus tenté de
lui
donner raison. Et je l’eusse fait avec plaisir si les arguments invoq
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ens, nommé Nicodème, un chef des juifs, qui vint,
lui
, auprès de Jésus, de nuit, et lui dit : Rabbi, nous savons que tu es
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uifs, qui vint, lui, auprès de Jésus, de nuit, et
lui
dit : Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu ; car pers
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aire ces miracles que tu fais, si Dieu n’est avec
lui
. Jésus lui répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme
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racles que tu fais, si Dieu n’est avec lui. Jésus
lui
répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de
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eau, il ne peut voir le Royaume de Dieu. Nicodème
lui
dit : Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il re
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ne peut entrer dans le Royaume de Dieu… Nicodème
lui
dit : Comment cela peut-il se faire ? Jésus lui répondit : Tu es doct
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e lui dit : Comment cela peut-il se faire ? Jésus
lui
répondit : Tu es docteur d’Israël, et tu ne sais pas ces choses ! En
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r eux”. Que pourrions-nous donc faire de plus que
lui
? L’imitation du Christ, c’est de mourir en lui et avec lui, — non pa
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e lui ? L’imitation du Christ, c’est de mourir en
lui
et avec lui, — non pas de s’emparer de son message comme d’un prétext
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itation du Christ, c’est de mourir en lui et avec
lui
, — non pas de s’emparer de son message comme d’un prétexte à ne plus
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part de Dieu”. Comment le savait-il ? Parce qu’on
lui
avait dit quels miracles faisait Jésus. C’étaient bien là des expérie
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meilleure théologie, faisons-nous autre chose que
lui
? Sommes-nous contemporains du Christ autrement ou plus réellement qu
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st un grand saint, on me répond que cette formule
lui
est tout à fait personnelle, et l’on m’oppose une thèse thomiste ; la
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est au-dessus de l’Évangile, qu’elle a barre sur
lui
, qu’elle dispose de critères qui ne sont pas tirés de lui26 et au nom
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le faut déclarer hérétique, de même que ceux qui
lui
donnèrent l’imprimatur. Et si Bossuet n’a pas déformé la vérité, pour
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ne connaissons de la volonté de Dieu que ce qu’il
lui
a plu de nous en révéler dans l’Écriture, et par l’action du Saint-Es
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onciles, détient et possède si bien qu’elle a sur
lui
ce jus uti et abutendi qui, selon le vieux droit romain, caractérise
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era bien incapable de différencier de sa nature à
lui
, de son époque et de sa formation ? »30. Autrement dit, on nous plain
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ement, ici et maintenant, que je la croie, que je
lui
obéisse et qu’elle me sauve ? Frères catholiques, à la question que v
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es rendus par l’Église historique à son chef, qui
lui
fut révélé dans l’Écriture, et non ailleurs. Il reste à dire ceci : E