1
re de vérités qu’il n’est plus possible de taire.
Mais
c’est en vain que nous cherchons autour de nous leur lien actuel et l
2
jamais son point de départ dans ces idées mêmes,
mais
bien dans une réalité qui les domine et qui les juge, en même temps q
3
d’une vérité dont nous ne sommes pas les auteurs,
mais
dont l’essence même implique notre effort pour la réaliser. Vérité do
4
accomplir dans une synthèse satisfaisante en soi,
mais
qui se manifeste au contraire comme un ordre, personnellement adressé
5
de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir.
Mais
, d’autre part, en vertu du même ordre des choses, la dialectique chré
6
que « nous sommes au monde pour quelque chose »,
mais
elle oublie que ce quelque chose, notre activité, ne vaut rien pour n
7
ons travailler à établir le Royaume sur la terre,
mais
elle oublie que cela nous est à jamais impossible. C’est le principe
8
choisirait Détroit. Il s’agirait de s’entendre ;
mais
pour cela il faudrait tout d’abord connaître la position du calvinism
9
lisation, la raison d’être de son incorporation ;
mais
les résultats terrestres de cet effort ne nous mériteront jamais le P
10
ous assure le Pardon, c’est la foi. Agissez donc,
mais
votre action ne sert de rien. L’hérésie pessimiste et l’hérésie optim
11
on entend par vie non seulement la vie naturelle,
mais
l’ensemble des relations humaines, la foi est ce qui rend la vie impo
12
la mesure de l’utile des difficultés naturelles.
Mais
la foi, bien souvent, ne peut qu’aiguiser ces oppositions naturelles
13
re qu’à partir de concepts réduits au même ordre,
mais
ce n’est pas ici du concept de la foi que nous parlons. C’est de la f
14
illerie moderne et son utilisation criminelle. ⁂
Mais
il existe des êtres que l’attitude du pessimisme actif condamne sans
15
it jamais pour nous de rendre cette vie possible,
mais
tout au plus d’abattre les obstacles à la foi, les idoles, les synthè
16
cendante. Nous ne sommes pas condamnés au succès,
mais
à l’obéissance jusqu’à l’absurde et au martyre, à l’« agonie » entre
17
rocédé électoral qui peut être utile à son heure,
mais
nous avons tout autre chose à faire. Nous ne cherchons pas à avoir ra
18
urment réel, maladroitement exprimé par ces mots.
Mais
, bien souvent aussi, on répond mal parce qu’on prend au sérieux des f
19
raiment agir ne demande pas d’abord un programme,
mais
d’abord une force. On peut affirmer sans crainte d’erreur une telle m
20
t des solutions positives, « discutables, certes,
mais
positives ». Si nous avions écrit, dans notre premier numéro, que la
21
nes règles et certaines directives « positives »…
Mais
si ces directives venaient à nous manquer, que ferions-nous de cette
22
utôt que de dire, comme certains : « J’ai la foi,
mais
dites-moi ce qu’il faut que j’en fasse ? » Car, où la foi existe, exi
23
dans une ignorance qu’il faudrait muer en savoir,
mais
dans un savoir qui exige sa réalisation. » Nature du « savoir » ch
24
oujours choix : on ne peut choisir pour un autre.
Mais
on peut, dans le cas, et pour soi-même, prouver la foi par l’acte qu’
25
e ordonne. Nous ne sommes pas des guérisseurs,
mais
des malades Doctrine désespérante, dites-vous. Oui, et plus encore
26
té du cas humain. Nous n’avons à guérir personne,
mais
à montrer que la maladie est sérieuse, si sérieuse qu’il serait ridic
27
te, hors de la réalité certainement désespérante.
Mais
il y a la Promesse, mais il y a la foi qui vient nous prendre au poin
28
rtainement désespérante. Mais il y a la Promesse,
mais
il y a la foi qui vient nous prendre au point où tout espoir apparaît
29
lle part ailleurs. On nous demande des réponses ?
Mais
nous ne pouvons que mettre et remettre en question vos sécurités et v
30
ne. Ce n’est plus l’homme qui pose des questions,
mais
c’est Dieu, seul Sujet. Et alors l’homme, enfin, devient responsable3
31
étrange que l’on doive rappeler de telles choses,
mais
la raison en est pourtant bien claire. Nous préférons demander aux ho
32
’avec les hommes, nous pourrons discuter… 2. «
Mais
oui ! malgré l’impopularité du terme ! » 3. Capable de réponse, c’es
33
’échappe point à soi-même. Inutilité des voyages.
Mais
Proust nous persuade qu’on ne s’atteint jamais. Et les philosophies d
34
sentence la justification de son refus de vivre.
Mais
il existe une sagesse qui semble bien n’être pas affectée de la dégra
35
s lequel elle s’annulerait, non sans soulagement,
mais
bien vers l’acte créateur par où la personne accède à une plus danger
36
reuse réalité. Ceci peut rappeler le jeune Hegel,
mais
s’oppose nettement au Hegel des hégéliens. Hegel supprima le conflit
37
détail ni sur la valeur morale de cette méthode,
mais
qui tombe perpendiculairement sur le plan humain et rien qu’humain où
38
t formulée dans ce passage de Barth : « Que Dieu (
mais
vraiment Dieu) devienne homme (mais vraiment homme !) c’est ce qui es
39
: « Que Dieu (mais vraiment Dieu) devienne homme (
mais
vraiment homme !) c’est ce qui est affirmé ici et qui ici devient la
40
, le contenu décisif d’un vrai discours sur Dieu.
Mais
comment établir le rapport nécessaire de ces deux aspects de la vérit
41
ant, cette impossibilité radicale s’est incarnée.
Mais
alors, si nous voulons parler en vérité d’une telle incarnation du ou
42
ouvrant soudain plongé dans la négation radicale.
Mais
aussitôt, s’il accepte ce non, l’affirmation de son salut paraît : il
43
plus profondément dans le non que dans le oui » ;
mais
la promesse qui nous est faite dans l’instant de la foi, c’est la pro
44
et dernier, et ensuite seulement notre recherche,
mais
en même temps, si elle est vraie, notre salut. Et c’est Pascal, tradu
45
x » ! Petite erreur de fait, voulons-nous croire,
mais
aggravée par l’ironie dont le professeur nous accable à cette occasio
46
ins de M. Lanson parlant de Du Bartas, ce géant —
mais
nous y reviendrons) ; ce sont les sonnets de Goulard, admirable comme
47
t être aussi laïque ou religieuse qu’on voudrait.
Mais
l’individu a vécu, nous dit-on… Il faut craindre la mort des mythes :
48
c le tu. Ses données me sont extérieures, certes.
Mais
je n’ai pas à les connaître autrement que par la question concrète qu
49
l’individu atomique. Le vœu humain paraît comblé…
Mais
ce nous est-il autre chose qu’une moyenne entre le je des libéraux et
50
re l’image du rapport véritable entre les hommes,
mais
qu’elle la figure dans l’abstrait, dans le plan même de ce qu’elle cr
51
, c’est la communauté des personnes responsables.
Mais
la communauté n’est rien de plus que les personnes : elle n’est que l
52
onsidérer cette communion non plus comme un acte,
mais
comme un état. C’est faire simplement abstraction de la responsabilit
53
décrète qu’elle est elle-même la force véritable.
Mais
elle ne règne plus que sur des automates. ⁂ Les partisans du nous, en
54
hénomène personnel demeure situé dans l’individu,
mais
dans un individu transformé, orienté, animé par une présence extérieu
55
e prochain que j’aime, je ne suis plus un isolé9,
mais
je reste un solitaire. C’est dans cette « solitude menacée » que vien
56
individu moral, l’individu social par excellence.
Mais
dans son acte seulement, c’est-à-dire dans l’instant présent, non poi
57
termes de philosophie du rapport d’un je à un tu.
Mais
on ne peut le comprendre et le vivre, dans son paradoxe profond, que
58
n seulement possède le droit d’être reçu par moi,
mais
encore d’être reçu quoi qu’il me demande, fût-ce ma mort, n’est-ce pa
59
une réponse. La plénitude est un combat d’amour.
Mais
aimer ? C’est d’abord répondre, — c’est en même temps et c’est surtou
60
et ce n’est plus la peur du sang qui lui répond,
mais
la crainte majestueuse, mêlée d’orgueil, de l’esprit qui connaît son
61
de Pan les ordonnances dictatoriales de l’esprit.
Mais
cet esprit n’est pas le tout de l’homme, — l’homme le sait. Et sa dic
62
mme un assassinat », écrit un jour un philosophe.
Mais
c’est encore une illusion d’orgueil. Le grand Pan n’est pas mort pour
63
ct d’une question n’est donné que par la réponse.
Mais
l’homme antique n’a pas en lui de quoi répondre à la Nature : il est
64
secret du grand Pan s’ouvrirait-il à son amour ?
Mais
serait-ce amour ou défi ? Empédocle n’a rien sauvé. Je garde ma raiso
65
, celles-là mêmes où se désespère le xxe siècle.
Mais
avant que d’y venir, et suivant l’ordre d’une Histoire dont la loi pe
66
onnée. C’est d’abord une réponse faite à l’homme.
Mais
c’est aussi, à travers l’homme désormais restauré dans sa condition é
67
ue dans la promesse. Cette Promesse est certaine,
mais
son accomplissement est hors du temps, bien plus, il est la fin du te
68
hutes, selon la Loi, à cause de la Loi. Rachetés,
mais
non pas pour ce temps. Restaurés, mais non pas dans la forme visible
69
Rachetés, mais non pas pour ce temps. Restaurés,
mais
non pas dans la forme visible de ce monde. Ainsi la lutte se poursuit
70
cé. ⁂ L’effort de l’homme pour imposer au monde —
mais
sans comprendre sa question — un ordre « humain » — mais sans connaît
71
ns comprendre sa question — un ordre « humain » —
mais
sans connaître l’Homme — peut être caractérisé dans ses effets bons e
72
a dialectique antique entre l’homme et la nature,
mais
transposée dans le déchirement personnel. Lutte stérile, et dont l’ab
73
us-sol ; par une charité dernière, jardin public.
Mais
cette forme grossière de la mutilation cosmique n’est pas plus danger
74
e. On a coutume d’en rendre Rousseau responsable.
Mais
c’est à ses disciples qu’il faudrait s’en prendre. Rousseau n’a pas t
75
osition, où se puisse jamais trouver un mortel ».
Mais
depuis ! À mesure que le sort se faisait plus clément, qui conduisait
76
at d’âme tout voisin de la « panique » antique14,
mais
qui, dans cet esprit nourri des Écritures, ne peut manquer d’évoquer
77
ication ? » L’allusion à saint Paul est évidente.
Mais
Constant, comme les romantiques allemands, s’il voit bien la question
78
sabilité. Et ce rapport est orienté vers l’homme.
Mais
, dans l’homme, vers le nouvel homme, vers les prémices de l’Esprit. E
79
s inconscient, que celui de nos essais critiques.
Mais
Ramuz, comme ses héros, s’arrête encore au seuil du Nouveau Testament
80
en nous révélant l’éternité perdue de notre être.
Mais
par là même, elle nous charge d’une nouvelle responsabilité vis-à-vis
81
velle responsabilité vis-à-vis de la Nature. 12.
Mais
on peut dire que la bataille qu’imaginait ce capitaine était en somme
82
et qui viennent à l’appui de notre point de vue.
Mais
là encore la funeste doctrine de l’analogia entis empêche l’auteur de
83
aux questions des incroyants ou des catholiques ;
mais
il se soucie peu d’examiner « librement », comme le veut la formule r
84
seulement des affirmations renouvelées du dogme,
mais
encore les critiques les plus vives des hérésies qui se sont introdui
85
quivalent de la doctrine du salut par les œuvres,
mais
encore on voit ces mêmes pasteurs lire sans sourciller la confession
86
la Cène est une simple commémoration symbolique.
Mais
combien s’en trouve-t-il qui soient capables d’expliquer ce qu’ils cr
87
table sainte dans un état « moral » insuffisant ;
mais
sait-il bien que seul l’aveu de sa totale insuffisance morale lui don
88
Scientifiquement, il y faudrait de gros volumes.
Mais
il suffit parfois de quelques phrases, d’un mot rendu à son vrai sens
89
ire place à une adhésion raisonnable et éclairée.
Mais
en même temps que le scandale, la foi s’évanouirait aussi. Car la foi
90
contemporains » de l’apparition de Jésus-Christ.
Mais
ne jouons pas sur le mot pour faire dire à Kierkegaard exactement le
91
entre le Christ et nous, il n’y a pas 19 siècles,
mais
une éternité ; il n’y a pas une certaine quantité de temps et d’histo
92
pas une certaine quantité de temps et d’histoire,
mais
l’abîme absolu d’une différence de qualité ; il n’y a pas une distanc
93
ifférence de qualité ; il n’y a pas une distance,
mais
une rupture — notre péché. Or, le péché, c’est notre pente naturelle.
94
s de l’expérience religieuse « sentie et vécue ».
Mais
si c’est le péché qui nous sépare de Christ, pensons-nous rejoindre J
95
conduisent non seulement la pensée « libérale »,
mais
aussi, je le répète, notre nature humaine irrépressible, dès que la v
96
uccessives du même temps dans lequel nous vivons,
mais
bien trois espèces de temps distinctes. D’où il résulte que l’on ne p
97
ns le même temps que Jésus, le rabbi de Nazareth,
mais
il ne devient le « contemporain » du Fils de Dieu qu’à l’instant où,
98
ncore les pages que Barth consacre à ce problème.
Mais
faut-il le redire ? La théologie n’est pas là pour résoudre concrètem
99
me, ou Salomon, le roi savant, ou Pierre doutant,
mais
non pas Pierre croyant ; Abraham tergiversant, mais non pas Abraham p
100
is non pas Pierre croyant ; Abraham tergiversant,
mais
non pas Abraham partant ; les disciples sur le chemin, mais non pas c
101
as Abraham partant ; les disciples sur le chemin,
mais
non pas cet instant où Christ se révèle. C’est sous ce signe critique
102
et le sort, je le crains, a voulu que j’en fusse.
Mais
Nicodème, par bonheur, « sait vivre » mieux que la plupart des jeunes
103
vrage de M. Monod. Vous savez qu’il a 3000 pages.
Mais
que dites-vous de ces deux phrases qui me sont tombées sous les yeux
104
de l’humble bon sens » ? Pardonnez-moi d’ergoter…
Mais
je sais bien ce que M. Monod voulait dire : il pense que les jeunes «
105
’on n’a pas d’expérience… Je n’osais pas le dire,
mais
c’est ce que je sens profondément. Quand on entend des évangélistes v
106
plus grand bien. Certes, il y a des abus partout,
mais
de là à condamner la notion même d’expérience ! N’est-ce pas au récit
107
. Dürrleman… Je ne sais si vous sentez comme moi,
mais
cette « clarté latine » me donne toujours envie de dire des grossière
108
-même à la page que je cherchais. Je lus ceci : «
Mais
il y eut un homme d’entre les pharisiens, nommé Nicodème, un chef des
109
n quelques mots : il monologuait, les yeux fixes.
Mais
peu à peu une vivacité fébrile parut s’emparer de sa voix. Nicodème.
110
disons. Ce que nous avons vu, nous l’attestons… »
Mais
que sais-je ? Et qu’ai-je donc vu ?… C’était bien moi !… Moi, Nicodèm
111
… Car elle viendra, cette heure absurde. J’ai vu…
Mais
qu’ai-je donc vu ?… J’ai vu que l’homme ne peut pas se dépouiller de
112
s profonde, la seule chose dont il puisse parler…
Mais
si c’était aussi la seule chose dont justement on ne puisse pas parle
113
apôtres, celles que j’ai vues et que j’atteste !
Mais
voilà… il y a eu ceci de plus, — et moi seul je puis en parler… Ou bi
114
raiment on dirait que c’est eux qui l’exigent ! —
mais
j’ai fait l’expérience de l’amour, et c’est elle que je veux attester
115
t qu’en s’étonnant subitement de l’heure tardive.
Mais
Mme Nicodème les rassura vivement, affirmant d’un ton sans réplique q
116
a mort, on serait bien bête de ne pas y recourir.
Mais
saint Jean ne se doutait guère que son Évangile serait un jour transf
117
raduire au moins, tant bien que mal, mon anxiété.
Mais
le lieu ne s’y prêtait guère, me semblait-il : entre ces jeunes barth
118
! Nous parlons tous avec beaucoup de conviction,
mais
je crois bien que nous délirons à qui mieux mieux. Voulez-vous que je
119
est la religion vécue, c’est-à-dire expérimentée.
Mais
tout d’un coup, voilà qu’il ne sait plus ce qu’il dit ! Vous l’avez e
120
grâce infuse et de radioactivité de l’Évangile !
Mais
vous, avez-vous donc dépassé cette angoisse ? Vraiment, l’avez-vous s
121
instant la vérité, comme telles, de ces formules.
Mais
vous tenez le mot d’une énigme qui ne vous a pas longtemps empêchés d
122
ésus-Christ dans son abaissement. Contemporains !
Mais
Nicodème aussi fut contemporain de Jésus. Et même il sut reconnaître
123
aître en ce Jésus un docteur envoyé par Dieu ! «
Mais
voyez-vous, nous sommes ici au nœud de ce mystère étourdissant. Nicod
124
et homme de nuit, quand il ne s’agit plus d’agir,
mais
seulement d’agiter des pensées… Eh bien, je vous demande si nous fais
125
J’étais bien loin de considérer la chose ainsi.
Mais
nous vivons dans un monde troublé, où la parole n’a plus le même sens
126
ce. Il était temps de prendre congé de nos hôtes.
Mais
un des étudiants, qui justement n’avait presque rien dit, prit soudai
127
là notre expérience religieuse, proprement dite.
Mais
nous avons le devoir et la mission de proclamer que cette angoisse a
128
onnez mon langage, peut-être trop ecclésiastique,
mais
je ne puis pas m’exprimer plus clairement. Voici donc, en peu de mots
129
dans la foi, tout est fait, — le salut est donné.
Mais
nous avons alors à dire et à prêcher ce que sont ce Baptême et cette
130
ns foi, hors de toute « crainte et tremblement ».
Mais
elles n’en sont pas moins, comme le Baptême et comme la Cène, dans la
131
enne », les évangiles et les écrits apostoliques.
Mais
mon propos est ici simplement de répondre à l’objection de nos frères
132
tre et la formulation des dogmes qui m’importent,
mais
la manière dont on en use dans l’Église romaine, mais le degré de sér
133
la manière dont on en use dans l’Église romaine,
mais
le degré de sérieux qu’on leur accorde en fait, mais l’opinion commun
134
s le degré de sérieux qu’on leur accorde en fait,
mais
l’opinion commune qu’elles sont censées enregistrer. Cette opinion co
135
e Jésus-Christ avait fait, et les apôtres suivi ;
mais
encore elle a pris la liberté d’interdire sévèrement cette pratique…
136
que la Cène sacrée est séparée du souper commun !
Mais
plutôt ne vous étonnez jamais de ce que l’Église fait. Instruite par
137
se que par un académicien ! » Boutade, en vérité,
mais
très « catholique » je le crains, si la « prudence » catholique consi
138
re la « fidèle interprète » des volontés de Dieu.
Mais
c’est ici que Bossuet nous arrête : « Qu’entendez-vous, nous dit-il,
139
leur formation ? Par la Bible ? En principe, oui.
Mais
le principe a beau être affirmé en droit, il est en fait négligé, et
140
comme critère des inspirations de l’Esprit saint.
Mais
la tradition, ce sont les conciles. Inspirés par l’Esprit saint, ils
141
it mal entendu, c’est-à-dire que la foi défaille.
Mais
quelle cohérence logique, quelle continuité, quelles grandeurs visibl
142
ment assurée — nous n’avons qu’une seule réponse,
mais
une réponse certaine, une réponse qui n’est pas nôtre : « L’œuvre de
143
pas une « autre source », un vain renfort humain,
mais
la suite des témoignages rendus par l’Église historique à son chef, q
144
ne croyons pas, dans son cas, à la mauvaise foi,
mais
à une ignorance totale de ce qu’il croit devoir attaquer périodiqueme
145
chair et qui boit mon sang a la vie éternelle »,
mais
il a dit néanmoins (dixit nihilominus) : « Celui qui mange ce pain vi