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e méditation constructive reste vaine, évasive et
mortelle
. Nous sommes au monde, nous ne sommes pas du monde. Toute constructio
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alité que dans l’instant éternel, dans le contact
mortel
du temps et de l’éternité ; puisque tout cela, encore une fois, ne co
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firmations orgueilleuses ou modestes de notre vie
mortelle
? Il y a l’acceptation de la Vie qui n’est pas nôtre, qu’il faut croi
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n. Elle devait conduire l’humanité à des impasses
mortelles
, celles-là mêmes où se désespère le xxe siècle. Mais avant que d’y v
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étrange position, où se puisse jamais trouver un
mortel
». Mais depuis ! À mesure que le sort se faisait plus clément, qui co