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« Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre,
ni
de réussir pour persévérer. » Cette absence d’illusions quant à la va
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ssez pur de révolutionnaire. Nous ne pouvons être
ni
conformistes — les ordres de la foi sont absolus — ni réformistes, n’
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onformistes — les ordres de la foi sont absolus —
ni
réformistes, n’ayant rien qui nous assure de l’action continue de la
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ans la nuit, ne connaissant, de par notre nature,
ni
le pourquoi, ni le « vers quoi » de notre vie, ayant perdu la clef de
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connaissant, de par notre nature, ni le pourquoi,
ni
le « vers quoi » de notre vie, ayant perdu la clef de l’Origine et de
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s le donné hostile du monde ambiant. Elle ne veut
ni
la thèse seule, ni l’antithèse seule, et bien moins encore la synthès
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du monde ambiant. Elle ne veut ni la thèse seule,
ni
l’antithèse seule, et bien moins encore la synthèse. Elle veut le ris
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ntient. Accusation qui ne porte pas sur le détail
ni
sur la valeur morale de cette méthode, mais qui tombe perpendiculaire
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vrai dialecticien sait que ce centre ne peut être
ni
appréhendé, ni contemplé. » Et pourtant, cette impossibilité radicale
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en sait que ce centre ne peut être ni appréhendé,
ni
contemplé. » Et pourtant, cette impossibilité radicale s’est incarnée
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e tu, considérés d’un point de vue qui n’est plus
ni
celui du je ni celui du tu, c’est-à-dire considérés dans leur rapport
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s d’un point de vue qui n’est plus ni celui du je
ni
celui du tu, c’est-à-dire considérés dans leur rapport objectivé, vu
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ue l’un des pôles de leur être n’est plus visible
ni
concret, échappe aux prises de leurs mains. Pour chacun d’eux, le tu
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un tu, ne rendent pas compte de l’être personnel,
ni
d’aucune réalité humaine. ⁂ Ces considérations peuvent paraître assez
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ls ne tiendraient plus réellement compte du péché
ni
de la grâce. Et le symbole de cette passivité, proclamé par la Renais
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rien faire ici-bas d’utile et de bon pour autrui
ni
pour soi ». Enfin, il précise qu’on y atteint le mieux couché dans un
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foi consiste justement à croire ce qu’on ne peut
ni
voir, ni toucher, ni comprendre humainement. Cette thèse de Kierkegaa
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iste justement à croire ce qu’on ne peut ni voir,
ni
toucher, ni comprendre humainement. Cette thèse de Kierkegaard, sous
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nt à croire ce qu’on ne peut ni voir, ni toucher,
ni
comprendre humainement. Cette thèse de Kierkegaard, sous la forme pol
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« Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. » Or,
ni
la chair, ni le sang n’auraient pu lui faire dire cette parole (Matt.
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hrist, le Fils du Dieu vivant. » Or, ni la chair,
ni
le sang n’auraient pu lui faire dire cette parole (Matt. 16, 17). C’e
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simple catalogue de résultats, sans commentaires
ni
justifications. Serait-ce là le langage orthodoxe que je cherche ? Il
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et dont la recrudescence actuelle ne fait honneur
ni
à l’information, ni à la bonne foi de nos écrivains, s’appelassent-il
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ence actuelle ne fait honneur ni à l’information,
ni
à la bonne foi de nos écrivains, s’appelassent-ils Paul Claudel. Ce t