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-même, sur l’intelligence et la volonté supposées
non
déchues, il y a lieu et ordre d’attester avec l’un des prophètes de c
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ovembre 1932)c …que nous faisons du paradoxe ?
Non
. Dieu nous est paradoxal. Le paradoxe est la réalité, ou plus exactem
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. » — Mieux vaudrait cent-mille fois s’écrier : «
Non
, je n’ai pas la foi ! » et alors vraiment prier de toute sa pauvreté,
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ils ont, eux, la clef du mystère ou du scandale ?
Non
, je ne le crois pas. Je dirai qu’ils ont mieux que cela. Ils savent s
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xiste, synthèse eudémonique à l’usage d’une masse
non
responsable. Une dialectique sans « médiation » et comportant par sui
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en vérité d’une telle incarnation du oui dans le
non
, nous ne pouvons que recourir au langage du paradoxe. Car tout autre
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ositive et la négative, à expliquer le oui par le
non
, et le non par le oui, sans jamais nous arrêter un instant sur le oui
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la négative, à expliquer le oui par le non, et le
non
par le oui, sans jamais nous arrêter un instant sur le oui ou sur le
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mais nous arrêter un instant sur le oui ou sur le
non
. » Car la réalité dépassera toujours le oui et le non, et ce que, de
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» Car la réalité dépassera toujours le oui et le
non
, et ce que, de leur simultanéité, nous croirons être en droit de dédu
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alité qui donne un sens si grave à ce oui et à ce
non
qui, au travers de toute l’œuvre de Barth, nous entraînent dans une o
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qu’aussi bien ce oui, c’est la Vie en Dieu, et ce
non
c’est la mort où nous sommes. Ce oui, c’est l’éternité, et ce non, c’
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t où nous sommes. Ce oui, c’est l’éternité, et ce
non
, c’est notre durée. Car notre durée n’est sans doute que notre perpét
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us de l’éternité. Dieu dit oui : l’homme comprend
non
, se découvrant soudain plongé dans la négation radicale. Mais aussitô
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négation radicale. Mais aussitôt, s’il accepte ce
non
, l’affirmation de son salut paraît : il reconnaît la Vie au travers d
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aux réalités dernières. Qu’y a-t-il donc entre ce
non
dernier et tous nos sic et non ? Qu’y a-t-il entre cette condamnation
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t-il donc entre ce non dernier et tous nos sic et
non
? Qu’y a-t-il entre cette condamnation globale et tous les jugements
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’y a-t-il entre ce oui dernier et tous nos sic et
non
, qu’y a-t-il entre cette justification totale et toutes les affirmati
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s ce monde « nous situe plus profondément dans le
non
que dans le oui » ; mais la promesse qui nous est faite dans l’instan
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ur fasciste consiste à considérer cette communion
non
plus comme un acte, mais comme un état. C’est faire simplement abstra
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e seulement, c’est-à-dire dans l’instant présent,
non
point dans la durée psychologique et descriptible ; c’est pourquoi de
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n’a pas d’autre mouvement que la peur ou l’amour.
Non
qu’il ait à choisir : déjà il fuit, déjà il s’offre. C’est le je qui
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ion réelle, jamais de vide entre moi et le monde,
non
, rien que la tension d’un corps à corps amoureux ou meurtrier. Je n’e
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, selon la Loi, à cause de la Loi. Rachetés, mais
non
pas pour ce temps. Restaurés, mais non pas dans la forme visible de c
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etés, mais non pas pour ce temps. Restaurés, mais
non
pas dans la forme visible de ce monde. Ainsi la lutte se poursuit, en
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ent donner raison de ce que dans la communion, et
non
pas dans le pain et le vin, il y a la présence réelle du Seigneur mor
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thèse de Kierkegaard, sous la forme polémique et
non
systématique qu’il lui a donnée, peut prêter à de graves malentendus.
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u Salomon, le roi savant, ou Pierre doutant, mais
non
pas Pierre croyant ; Abraham tergiversant, mais non pas Abraham parta
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n pas Pierre croyant ; Abraham tergiversant, mais
non
pas Abraham partant ; les disciples sur le chemin, mais non pas cet i
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raham partant ; les disciples sur le chemin, mais
non
pas cet instant où Christ se révèle. C’est sous ce signe critique rad
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e-li-gieuse ! N’étais-je pas en face de Celui… Oh
non
! pas ces théologiens avec leurs arguments impitoyables, — écartez-vo
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du Christ, c’est de mourir en lui et avec lui, —
non
pas de s’emparer de son message comme d’un prétexte à ne plus mourir
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tis le rouge me monter au front, et j’éclatai : «
Non
! non ! et non ! ce n’est pas excellent du tout, c’est même tout simp
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rouge me monter au front, et j’éclatai : « Non !
non
! et non ! ce n’est pas excellent du tout, c’est même tout simplement
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monter au front, et j’éclatai : « Non ! non ! et
non
! ce n’est pas excellent du tout, c’est même tout simplement odieux !
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ifférence : car tous les deux sont des vivants et
non
des morts. Et comment osez-vous affirmer cette impossible exigence de
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m de cette angoisse, — justement, en son nom ! Et
non
pas pour la condamner ou la nier dès le principe ! Car je reconnais a
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as ? » La Réforme, par Luther et Calvin, répond :
non
, Dieu seul connaît ce qui est de Dieu. Pour nous, ne connaissons de l
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t, que vous n’entendez pas que c’est l’Église, et
non
pas la seule Écriture, qui sait le secret de Jésus-Christ ! — Et d’où
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son chef, qui lui fut révélé dans l’Écriture, et
non
ailleurs. Il reste à dire ceci : Et nous, croyons-nous assez « sérieu
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parfait de la libre grâce que Dieu nous fait ; et
non
point cette infusio, ce principium divinum que Rome appelle grâce. Vo